CSM s’annonce comme un logiciel de gestion d’infrastructures ouvert à la téléphonie et aux réseaux d’entreprise. Il est capable de reconnaître les éléments actifs sur un réseau TCP-IP. Il sera compatible avec Oracle 7 et 8, ainsi qu’avec SQL Server 6.5 et 7. L’intérêt de cette évolution est d’offrir une vraie structure 32 bits au lieu de 16 et, surtout, une ouverture sur une base de données relationnelle. La version précédente, CSM 2.6.1, appréciée pour sa gestion des jarretières, était construite autour du séquentiel indexé B-Trieve. “Si l’on veut gérer d’importantes bases d’objets?” plus de cent mille éléments : routeurs, PC, concentrateurs, câbles… ?”, un moteur de base de données puissant est indispensable “, précise Olivier Rozenkranc, directeur de l’équipe de développement.
100 % Physical Networks
Jusqu’en mars 1999, le développement de ce logiciel avait été sous-traité, mais l’ouverture nécessaire pour intégrer toujours plus de nouveaux formats à la saisie (plans ou fichiers de bases de matériels) requérait des modifications permanentes. Ce point n’est pas négligeable puisque la saisie de données représente de une à quatre fois le coût de l’application elle-même.Le prix de CSM 3.0 démarre à 50 000 F (pour 500 prises avec un utilisateur), mais le prix moyen d’une installation revient plutôt à 150 000 F.Le logiciel de gestion de câblage CSM se différencie de ses concurrents en mettant l’accent sur la gestion, alors que Visio 2000 ou Visionael parient sur la carte graphique.
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