Les progiciels de gestion intégrés font leur entrée dans cette enquête. SAP est le plus représenté dans ce palmarès, suivi d’Oracle et des outils spécifiques développés en interne. Baan arrive en quatrième position. Les autres éditeurs (People- Soft, J. D. Edwards, etc. ) n’étaient pas assez représentés parmi les entreprises interrogées pour entrer dans ce palmarès. Avec des notes dans l’ensemble inférieures à 7, les utilisateurs sont peu satisfaits de leur PGI. Seul Oracle tire son épingle du jeu avec note moyenne de 7,12.
Les progiciels maison appréciés pour leur facilité d’installation
Le coût global des logiciels appelle systématiquement une note sanction. En la matière, SAP obtient la note moyenne la plus basse de l’enquête, tous types de produits confondus : 4,36. Ce sont les outils spécifiques développés en interne qui enregistrent la note moyenne la plus élevée. Ils sont suivis par Oracle, mais la récente annonce de l’éditeur d’imposer un système de tarification basé sur la puissance des processeurs pourrait bien lui coûter cette place dans le prochain classement.Les appréciations sont mitigées également pour le critère de l’adéquation aux besoins de l’entreprise. Encore une fois, Oracle arrive en tête avec une note supérieure à 7, suivi par les outils développés en interne. Les notes concernant la facilité d’installation sont sans surprise : tous les éditeurs font l’objet de critiques, les utilisateurs de progiciels maison étant, là encore, moins sévères. C’est sur ses capacités d’évolution que SAP sauve la mise. Pour ce critère, il obtient la note moyenne la meilleure, derrière Oracle.
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