‘ Deux à trois heures ‘
à la Direction centrale des renseignements généraux. C’est le cadeau de Noël auquel a eu droit Patrick Bruel, rapporte Le Nouvel observateur.
Le chanteur y a été entendu pour ses liens avec Winamax. Ce site anglais de paris propose, y compris en France, des parties de poker en ligne permettant de gagner de l’argent, ce qui est illégal dans l’Hexagone.
Or Patrick Bruel, devenu une figure emblématique du poker en France, a assuré une promotion active de Winamax. La société permettait par exemple à certains de jouer contre ou avec le chanteur.
Dans une enquête de Libération parue mi-décembre, Patrick Bruel expliquait n’avoir qu’un ‘ contrat dimages ‘ avec Winamax. Sauf que le quotidien révélait dans le même temps que le chanteur
avait créé un portail de poker, gratuit cette fois, avec Marc Simoncini, le fondateur de Meetic. Et que ce site, WAM-Poker, fourmille de liens vers Winamax. Le même joueur professionnel conseille ainsi aussi bien WAM-Poker que Winamax. Reste donc à
savoir si Patrick Bruel bluffe.
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