L’objectif annoncé de Dubaï est de devenir “un centre pour la technologie, le commerce électronique et l’information “. Cette ” e-zone franche ” devra néanmmoins rivaliser avec des concurrentes, actuellement en cours d’élaboration en Jordanie et en Egypte. A cette fin, Dubaï prévoit un investissement initial de 200 millions de dollars pour la mise en place des infrastructures nécessaires ?” les connections Internet notamment.
L’Emirat, qui ne manque pas d’arguments, prévoit également que “les sociétés de la zone franche et leurs employés seront exonérés de tout impôt, y compris d’impôt sur le revenu, et ne seront soumis à aucune restriction sur les transferts de capitaux, de bénéfices et de salaires, et cela quelle que soit la monnaie utilisée” !
La zone sera ouverte aux ressortissants et aux produits de tous les pays du monde, exception faite de “ceux qui sont boycottés politiquement ou économiquement par l’Etat” (les produits israéliens notamment, selon différents sites boursiers).
Les entreprises, désireuses de s’implanter là-bas, pourront louer des terrains ou des bâtiments pour une durée renouvelable de 50 ans maximum, précise le texte signé par le gouverneur de Dubaï, cheikh Maktoum Ben Rached Al-Maktoum.
Que ceux que limmunité judiciaire inquiète se rassurent. Le gouverneur de Dubaï, a tout prévu : une autorité autonome sera créée pour, entre autre, “lutter contre les crimes liés au commerce électronique et protéger la propriété intellectuelle” !
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.