Philippe Jourdan, cofondateur de Panel on the web, l’affirme :“Nous ne cherchons pas à étudier l’usage d’Internet, mais souhaitons utiliser ce média comme un levier”. Même si la start-up envoie des recruteurs de panelistes dans les écoles, elle exige que l’inscription de ces derniers se fasse en ligne. Il en va de même pour les clients; les études commandées sont transmises dans un espace dédié et personnalisé de panelontheweb.com. Grâce à Internet, les personnes interrogées jouissent d’une part d’un certain confort, puisqu’elles peuvent répondre hors connexion aux questionnaires, que la société peut ainsi rendre plus complexes. D’autre part, la collecte des données s’effectue deux fois plus rapidement qu’en temps ordinaire; l’analyse aussi ! Enfin, le média offre aux entreprises la possibilité de tester des images et des jingles, ce qui n’était pas le cas auparavant.Pour réussir son pari, la start-up a développé un système propriétaire afin de garantir l’inviolabilité de sa base de données, la confidentialité des informations sur ses panelistes et l’accès aux résultats. Enfin, Panel on the web propose aux consommateurs interrogés des chèques cadeaux ou une participation à sa croissance, histoire de les motiver.
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