Par rapport à la précédente génération des FZ2/FZ3 dont est dérivé le LZ5, le capteur gagne quelques mégapixels. L’architecture, très ramassée autour de l’imposante optique Leica, semble à peine redessinée. L’interface est
austère mais fonctionnelle, même si on aurait aimé trouver plus de raccourcis vers les réglages d’image. Un nouveau bouton permet d’enclencher ou de couper la stabilisation mais, comme celle-ci ne provoque pas de surcroît de consommation, autant la
laisser activée en permanence.L’écran est très lisible et donne un rendu des images presque trop flatteur en termes de couleur. L’optique est bonne en matière de piqué, de correction de la distorsion et du vignettage, mais le processeur a du mal à traiter les
couleurs de manière totalement convaincante. Rapide, l’appareil permet de réaliser des rafales continues à 3 images par seconde et l’autofocus se montre très réactif, même en faible lumière.
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