Un patron de gauche
Sans doute n’est-il pas trop tard pour saluer la mémoire d’Antoine Riboud, décédé le 4 mai, sans attendre les résultats du second tour. Encore un mauvais signe démocratique. Un “patron de gauche “, comme l’écrivirent les journaux du 6 mai, mourrait le jour même où la gauche prenait l’une des plus grandes claques de son … Lire la suite