Qui n’est jamais tombé par hasard sur un site web peu fréquentable ? Personne n’est à l’abri de ce genre de découverte, qui fait suite à l’ouverture d’un mail ou à un clic malencontreux…Cela devient plus compliqué à gérer quand il s’agit du poste de travail d’un collaborateur… Installer un logiciel de contrôle parental sur chaque poste n’est pas envisageable dans une entreprise composée
normalement d’une majorité d’adultes. L’installation d’un logiciel de filtrage des URL sur notre serveur proxy m’a semblé être la solution au problème. La mise en ?”uvre rapide d’un outil open source
gratuit a permis, à moindre coût, de calmer les ardeurs de certains : du jour au lendemain, le trafic Internet a été réduit de 30 % !Cette baisse était (heureusement) liée à une dérive du logiciel, qui avait tendance à interpréter certains mots comme ‘ interdits ‘, au sein d’une page destinée pourtant à tous les publics.
L’outil bloquait donc de façon abusive l’accès à de nombreux sites…La prise en compte de ces erreurs nécessitant la création d’une base d’exceptions a notablement compliqué la maintenance, qui devenait quasi quotidienne et parfois impossible à réaliser.Je me suis donc tourné vers un logiciel payant, qui fonctionne sur le principe de mise à jour d’une ‘ black list ‘ gérée par l’éditeur. Muni d’une interface web conviviale, il permet
d’instaurer des règles fines de filtrage. Problème : l’abonnement annuel de plus de 10 ? par poste de travail !L’époque du poste de travail isolé avec traitement de texte et tableur est décidément révolue… Je me suis résigné à payer le prix fort pour cette solution qui alourdit le budget affecté aux antivirus et autres antispyware.
Qui a dit que le navigateur Internet était gratuit ?* MM. Red, Green, Yellow, Blue et Purple sont cadres dans des services informatiques. Chaque semaine, à tour de rôle, ils vous font partager le fruit de leur expérience.
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