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Oracle peaufine Small Business Suite

L’éditeur enrichit son progiciel de gestion pour PME diffusé en ASP. Les nouveaux modules sont destinés aux forces de vente et au support client. La commercialisation reste limitée à l’Amérique du Nord.

Lancée aux Etats-Unis et au Canada il y a dix-huit mois, l’application Oracle Small Business Suite est une suite logicielle destinée à couvrir toute la gestion des PME. On y trouve des modules de comptabilité, de commerce électronique (pour élaborer un site Web commercial), de paiement en ligne, de gestion des notes de frais, de gestion du temps des employés et de paye des salariés.Oracle vient de compléter ce produit en y ajoutant deux modules : l’un consacré aux forces de ventes, l’autre au support client. Le module de force de ventes permet aux commerciaux de gérer (entre autres) leurs prospects, d’enregistrer des commandes, de disposer d’un agenda ou encore de visualiser leurs listes de tâches.Le module de support clients sert à enregistrer les demandes de services de ceux-ci et à en assurer le suivi.” Le modèle ASP dégage l’entreprise des soucis informatiques, une préoccupation récurrente chez les petites entreprises, tout en lui proposant une solution puissante “, explique Philippe Lemaire, responsable marketing GRC chez Oracle France. ” Les clients souscrivent sur Internet à ce service, facturé 99 dollars par mois. Pour utiliser l’application, il suffit d’un simple navigateur Internet “, ajoute-t-il.

3 000 clients sur le continent nord-américain

Séduisant sur le papier, ce produit Oracle n’est cependant disponible à l’heure actuelle qu’aux Etats-Unis et au Canada. Selon l’éditeur, Oracle Small Business Suite est utilisé par 3 000 entreprises sur le continent nord-américain.” Le modèle ASP et la clientèle visée, les PME, sont deux nouveautés pour Oracle. En moins de dix-huits mois, le produit s’est considérablement enrichi et a atteint une certaine maturité. Oracle va probablement l’étendre à d’autres pays mais je ne dispose pas à l’heure actuelle de plus d’indications “, conclut Philippe Lemaire.

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Antonin Billet