Optoma fait évoluer sa famille de mini-vidéoprojecteurs avec le ML500. Un appareil exploitant une puce DLP et un système de rétroéclairage par Led. La particularité de ce dernier et d’offrir une luminosité, selon le fabricant, de 500 AINSI lumens. Le bénéfice : assurer des projections dans de bonnes conditions sans plonger la pièce dans le noir.
Pour des projections sans PC…
Le ML500, comme bon nombre de ses concurrents, est doté d’un port USB (Host) sur lequel il est possible de brancher une clé USB. Le but : lire et afficher différents formats de fichiers sans avoir recours à un ordinateur. Optoma promet une bonne compatibilité multimédia, tant pour la vidéo (AVI, MOV, MP4, 3GP, TS, WMV, MKV, RM), la musique (MP3, ACC, WMA, OGG, WAV), les photos que pour les documents bureautiques (DOC, XLS, PPT, PDF). Une compatibilité que nous ne manquerons pas de vérifier lors d’un prochain test.
… ou depuis une tablette
Plus original, l’appareil est compatible avec l’affichage par USB. Ainsi, le fabricant indique qu’il serait possible de projeter des images depuis un iPad 2 et visiblement d’autres tablettes. Là encore, nous vérifierons cela pendant les tests.
La 3D en option
Pour la suite, le mini-vidéoprojecteur s’annonce assez classique. La définition de la projection se cantonne au premier palier de la haute-définition (1 280 points par 800) et le taux de contraste annoncé est dans la moyenne (3 000:1). Les utilisateurs souhaitant donner du relief à leur image projetée devront investir dans l’Optoma 3D-XL couplée à une platine Blu-ray 3D.
Le ML500 d’Optoma est disponible à 649 euros, mais il est déjà annoncé sur le Net à des prix bien plus compétitifs (525 euros dans les grandes enseignes) par rapport à la concurrence.
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