Depuis octobre 1999, Nerim s’était circonscrit à Paris Rive gauche. Mais, depuis début février, il est en mesure de proposer des raccordements Netissimo 1 et 2 sur l’ensemble des plaques France Télécom aujourd’hui en service. Il s’appuie, pour ce faire, sur le service FreeSP de France Télécom, qui collecte le trafic à la sortie des BAS sur un VPN L2TP de Transpac, service que Nerim est le troisième à adopter en France, après World Online et Infonie. Parallèlement, Nerim poursuivra jusqu’en juin prochain, au centre de la rue des Archives, à Paris, ses tests de dégroupage ADSL/SDSL avec un DSLAM de Cisco Systems ainsi que des modems de Cisco et de Xyxel (www.nerim.net).
Siris, la filiale française de Deutsche Telekom, a procédé à des tests de dégroupage à Massy et à Lyon. À Marseille, elle a testé l’option de collecte de trafic ADSL Connect ATM de France Télécom. “Mais elle n’est pas viable économiquement, affirme Eric Chambriard, directeur du pôle Réseaux & Technologies. En attendant le dégroupage total, nous ferons de la revente, basée sur l’option Turbo DSL.” (www.siris.fr).
La Breko, l’association allemande des sociétés de télécommunications régionales et locales, a introduit un recours devant la Regulationsbehörde (Bonn) contre les tarifs prédateurs de l’offre T-ADSL de Deutsche Telekom. Grâce à ces tarifs (de 64,70 à 74,80 DM par mois), l’opérateur public a déjà pu vendre près de 700 000 accès DSL, soit plus de 95 % du parc. Mais seulement un tiers d’entre eux a pu être installé à ce jour en raison de problèmes techniques et de retards de livraison (www.dtag.de).
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