En proposant Open Team, sa solution de gestion de projets pour intranet, l’éditeur français Op’team espère bien se faire une place à côté d’Artemis, de Cascade ou d’OPX, qui fonctionnent quant à eux en mode monoposte ou en mode client-serveur. Fondée sur Microsoft IIS, cette solution fournit ses propres modules applicatifs, mais peut aussi s’intégrer aux progiciels existants de l’entreprise, qu’ils soient dédiés à la gestion de projets ou simplement d’ordre administratifs. “La plupart des logiciels de gestion, qu’il s’agisse de projets ou non, sont loin d’avoir tous des modules web”, s’exclame Jean Ellegoat, directeur d’Op’team.
MS Project à la rescousse
Open Team repose d’abord sur le module de découpage et de structuration, qui définit les responsabilités et le descriptif des travaux. Grâce à Microsoft Project Server, vendu séparément, le calcul des temps s’effectue au niveau de cette brique logicielle essentielle. De même, un module de GED gère les documents liés au projet et stockés dans la base, ainsi que la gestion des incidents et des risques. Enfin, une passerelle avec Exchange complète le tableau. Quand cela est nécessaire, l’intégration à l’existant se fait en procédant à la réécriture partielle des modules d’Open Team afin de les rendre interopérables. Mais le coût d’achat grimpe alors très vite.
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