Fujifilm Finepix F100fd
On aime… le zoomAvec son amplitude focale de 5x (28-140 mm), l’optique du F100fd est très polyvalente. Seul le Ricoh fait mieux. C’est un atout certain pour faire face à toutes les situations qu’un photographe peut rencontrerOn aime… la qualité d’imageAssociez une bonne optique, un capteur performant et un processeur d’image efficace et vous obtenez une excellente qualité d’image. C’est ce qu’a fait Fuji, qui démontre encore une fois les qualités de son capteur maison : le
Super CCD HR. Ici de huitième génération, il offre deux millions de pixels de plus que la plupart de ses concurrents : la précision d’image en est forcément renforcée. Les aberrations chromatiques et géométriques de l’objectif sont limitées, ou
bien corrigées par le processeur graphique. La fidélité des couleurs est bonne, avec un rendu globalement chaud, flatteur, excellent dans les teintes chair. Le bruit numérique est étonnamment bien géré jusqu’à 800 Iso. Au-dessus, le traitement
logiciel aura tendance à gommer un peu les petits détails, mais les photos pourront encore être exploitées pour des tirages de petit format.
On aime… la double compatibilité mémoireEn plus de fournir 55 Mo de mémoire interne en standard (la plus forte capacité de notre sélection), Fuji propose sur son F100fd un double lecteur de cartes mémoire. Alors qu’Olympus persiste à ne proposer sur ses appareils que
le format xD Picture Card (dont il est co-inventeur avec Fuji), Fujifilm a choisi la voie de la sagesse en laissant le choix à ses clients : le F100fd accepte donc à la fois les cartes xD et Secure Digital (SD et SDHC), le standard du marché,
plus économique et plus performant
On aime et on n’aime pas… le port infrarougePetite originalité du F100fd, la présence sur sa tranche supérieure d’un port infrarouge IrSimple. Non, il ne s’agit pas d’un récepteur pour une télécommande optionnelle. Vous pouvez utiliser cette liaison sans fil pour transférer vos
photos vers un autre appareil Fuji, par exemple, ou, plus intéressant, vers une imprimante compatible. C’est le cas de certains modèles d’imprimantes photo 10 x 15 cm. Une bonne idée, cette liaison est plus économique et plus simple
que le Wi-Fi ou le Bluetooth, mais aussi moins performante et compatible uniquement avec une liste assez restreinte d’appareils
On aime et on n’aime pas… l’ergonomie et la simplicité d’utilisationD’un format compact, le F100fd se fera discret dans un sac ou au fond d’une poche. Sa finition métallique est soignée et son ergonomie générale bien étudiée. Les commandes tombent naturellement sous les doigts, les menus sont clairs
et bien conçus. On apprécie notamment la molette arrière, qui permet de naviguer rapidement dans les différentes options de réglage ?” même si celles-ci sont assez peu nombreuses. Justement, on regrette que le F100fd ne propose pas un peu
plus de paramétrages manuels (modes PASM notamment). Les photographes avertis se sentiront rapidement frustrés par cette limitationOn n’aime pas… le manque de réactivitéLe plus gros point faible du F100fd est sans doute son manque relatif de réactivité. Relatif, car on est loin des performances désastreuses de l’Olympus FE-350, par exemple. De plus, le temps de latence au déclenchement est nulle, ce
qui est excellent. Mais l’autofocus aurait pu être un peu plus réactif : près d’une demi-seconde pour faire le point c’est long, trop long. Autre écueil majeur, le délai d’allumage supérieur à 3 secondes ; seuls Sony et Olympus font
moins bien
Sony Cyber-shot DSC-W170
On aime et on n’aime pas… le viseur optiqueSony est la seule marque à proposer encore un viseur optique sur son appareil. Un bon point, car il permet d’économiser la batterie et de cadrer même lorsque l’écran LCD devient illisible (trop de soleil ou de luminosité ambiante).
Hélas, l’?”illeton étriqué du DSC-W170 tient plus du trou de serrure que du véritable viseur. Si on ajoute à cela une couverture du champ de vision très partielle et des problèmes de parallaxe en position téléobjectif, on ne l’utilisera vraiment
qu’en dernier recours
Panasonic Lumix DMC-FS20
On n’aime pas… l’ergonomieLe confortable écran de 2,5 pouces du DMC-FS20 occupe presque toute sa face arrière. Résultat : les boutons de commande et le mini joystick sont donc relégués dans un tout petit coin, à droite de l’écran. Ces touches
miniatures ne sont pas faciles à manier, surtout lorsqu’on a de gros doigts
Samsung NV24 HD
On aime… l’objectif très grand angleAvec son objectif équivalent à un 24 mm en 24 x 36, le Samsung NV24 HD est particulièrement adapté à la photo en intérieur et à la capture de larges panoramas. C’est d’autant plus vrai que l’optique est de qualité,
présentant peu de distorsions et d’aberrations chromatiques, et qu’il s’en sort très bien dans les hautes sensibilités
On aime et on n’aime pas… l’interface tactileLe NV24 HD est doté de deux rangées de touches tactiles, en dessous et à droite de l’écran. En les effleurant légèrement, on fait défiler différents menus horizontaux et verticaux. C’est un peu déconcertant au début, mais lorsqu’on en
a saisi le fonctionnement, cette interface devient très agréable
Casio Exilim EX-Z200
On aime et on n’aime pas… le large choix de modesTrente-cinq, c’est le nombre de modes préprogrammés que propose le Z200. Cela va des classiques modes Portrait ou Paysage au mode Texte, pour photographier des documents, en passant par le mode Feu d’artifice et le mode Vidéo conçu
pour YouTube. Une panoplie qui compense un peu l’absence de réglages avancés
Panasonic Lumix DMC-FX35
On aime… les capacités vidéoPlus qu’un simple appareil photo, le Lumix DMC-FX35 est un véritable petit caméscope d’appoint. Non seulement il enregistre des vidéos au format HD Ready (1 280 x 780 pixels) à 60 images par seconde en H.264, une
variante du Mpeg-4, mais il dispose aussi d’une sortie vidéo Composante pour les regarder sur un téléviseur, avec une qualité décente. Seul petit regret, le zoom optique n’est pas actif dans ce mode
Ricoh Caplio R8
On aime… le zoom 7,1xUn zoom 28-200 mm dans un appareil compact, voilà qui est idéal pour faire face à toutes les situations que l’on peut rencontrer dans la vie courante. De la photo de paysage au portrait en gros plan, le R8 sait tout faire
On aime… l’écran LCDL’écran du Caplio R8 n’est pas plus grand que la moyenne, mais offre une définition plus élevée, le double de celle de ses meilleurs concurrents. Un surplus de pixels bien agréable, que ce soit pour le confort de visée que pour
l’affichage des images en lecture et le contrôle de la netteté
Olympus FE-350 wide
On n’aime pas… l’absence de stabilisateurLe FE-350 est le seul appareil de notre sélection à ne pas proposer de système de stabilisation. C’est d’autant plus dommageable que c’est aussi le plus mauvais dans les hautes sensibilités. N’espérez donc pas faire des photos nettes
avec cet appareil lorsque la lumière vient à manquer, à moins dutiliser le flash intégré, lui-même très limité en portée, comme sur tous les appareils compacts
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