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Nouvel iPhone : l’une de ses puces serait une super balise de localisation

Le futur processeur des iPhone va surement être plus puissant et moins gourmand en ressources. Il renfermerait aussi un nouveau coprocesseur capable d’analyser encore plus finement les données liées à la localisation.

Le coprocesseur M d’Apple va-t-il prendre sa retraite ce soir ? Ce composant du SoC (System on Chip) des iPhone et des iPad se charge d’analyser les données collectées par différents capteurs de l’appareil afin de soulager le processeur central. Après de longues années de bons et loyaux services et de multiples itération, il pourrait être remplacé par un autre module plus puissant, sans doute dévoilé ce soir.

Découvert sous le nom de code R1 ou Rose, il serait embarqué dans le processeur A13 censé motoriser les nouveaux iPhone. Un composant dont on trouve des traces dans une version interne d’iOS 13 selon le site MacRumors.

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Tout comme les puces de génération M, le R1 serait en charge du traitement des données enregistrées par le GPS, l’accéléromètre, le capteur de luminosité et les micros par exemple. Toutefois, il supporterait beaucoup plus de capteurs et gagnerait donc en précision par rapport au M, aussi bien au niveau du traitement que de la captation des données.

Un coprocesseur pour l’Apple Tag

Le R1 serait de plus compatible Bluetooth 5.1 (qui a des appétences pour la localisation), il embarquerait une unité de traitement spécialisée dans le calcul des distances ainsi qu’un petit module de communication à large bande. Il pourrait aussi collecter des données via les différents modules caméra de l’appareil.
En clair, si vous perdez votre smartphone par exemple, grâce au R1, vous auriez la possibilité d’avoir les coordonnées précises voire l’image du lieu où il se trouve. Cela en fait le composant idéal pour fonctionner avec le supposé dispositif de localisation Bluetooth qu’Apple annoncerait ce soir en plus des nouveaux mobiles.

Autre utilité du R1, la réalité augmentée. Les applis conçues avec ARKit trouveront un éventail de données encore plus large à exploiter avec le R1 et pourraient encore gagner en fonctionnalités et en précision dès lors qu’il s’agit de modéliser des objets virtuels dans un environnement réel. Les échelles et les tailles seraient notamment encore mieux respectées.

Source :
Macrumors

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