On retrouve ensuite un capteur maison de 12,1 Mpix qui délivrera des images de 4000×3000 pixels: de quoi pouvoir prévoir des recadrages généreux en vue de tirages. Basés sur la même plate-forme technique, les deux appareils se distinguent par leur design (un peu), par l’écran (plus grand et précis sur le 2100 IS) et surtout par la puissance du zoom optique, passant de x4 sur le PowerShot 1100 IS à x6 sur le grand frère.
Là où le bât blesse c’est que Canon a encore fait l’impasse sur le grand-angle pour ces compacts grand public -et seuls les Ixus haut de gamme sont bien servis. Avec une optique allant de 35 à 140 mm (en équivalent 24×36) sur le 1100 IS et de 36 à 216 mm pour le 2100 IS, on peut donc dire que les deux comparses voient un peu plus loin mais moins large que la concurrence. Dommage que Canon ne fasse pas plus d’efforts dans ce sens…
On retrouve bien évidemment les raffinements de photographes amateurs tels que la suppression automatique des yeux rouges, la correction de plage dynamique qui évite les sur et sous-expositions, la reconnaissance des visages et un détecteur automatique de mode scène.
Le PowerShot 1100 IS est déjà disponible à 259 euros tandis que le 2100 IS devrait débouler en avril à 309 euros.
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