‘ Le Nokia 6820 est le téléphone qui traduit le mieux l’expertise de Nokia sur le segment des mobiles messaging [téléphones mobiles permettant la réception de mails,
NDLR] ‘, estime Xavier des Horts, responsable de la communication chez Nokia.Ce téléphone GSM, GPRS, Edge, est conçu pour les cadres itinérants ayant besoin de se connecter régulièrement au réseau de leur entreprise. Compatible avec les standards de messagerie (Imap4, POP3, SMTP…), il permet
d’accéder à Exchange, Lotus ou encore Novell GroupWise, avec un ou plusieurs comptes, et de consulter à distance son agenda ou son gestionnaire de tâches. Nokia a assuré l’ouverture de ce terminal à sa solution Access Mobilizer, ainsi
qu’au client BlackBerry.
Lire tout type de message
‘ Avec Access Mobilizer, l’objectif est de rendre lisible sur l’écran du 6820 l’intégralité des messages et pièces jointes qui lui parviennent ‘, explique Xavier des
Horts. La solution impose la mise en place du boîtier EM6600, sorte de proxy entre le client et le serveur de messagerie. Celui-ci reformate les données qu’il transmet ensuite au mobile en mode GPRS dans le cadre d’une session
sécurisée (SSL). Le serveur, dont le prix est de 1500 euros HT avec 25 licences utilisateurs, extrait pour cela le texte et les images, y compris le contenu des pièces jointes, au format Office ou PDF.‘ Le paramétrage d’Access Mobilizer est simple puisqu’il requiert juste le nom, le service d’hébergement ou encore le processus d’identification ‘, poursuit
Xavier des Horts. Les clients ont aussi la possibilité d’opter pour un client BlackBerry, qui permet, moyennant la mise en place d’un serveur BES (BlackBerry Exchange Server), de recevoir pièces jointes (Word,
Excel) et e-mails en push, à l’aide d’une connexion sécurisée.Le Nokia 6820 bénéficie également des partenariats établis avec Oracle ou SAP, qui assurent la connexion à l’aide d’applets sur leurs applications. Pourvu d’un appareil photo VGA, le Nokia 6820 reprend le concept
du clavier repliable Azerty du 6800, disposé de part et d’autre de l’écran. Lequel fait osciller l’image d’un quart de tour quand il est ouvert. Refermé, l’utilisateur dispose du clavier numérique. Prix :
392 euros HT, hors boîtier et hors serveur BES.
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