Le bannissement définitif de la console ! L’épée de Damoclès pendrait-elle au-dessus des pirates sur 3DS ? Moins de 24 heures après la sortie de la console, la démonstration avait déjà été faite que les jeux DS copiés grâce à une carte de type R4 pouvaient fonctionner sur la 3DS. Une compatibilité que la première mise à jour du firmware de la console portable de Nintendo n’avait pas entamée.
Rumeur d’un durcissement de la position du fabricant
Big N n’avait pas dit son dernier mot. En début de semaine, une rumeur faisant état d’un système de protection silencieux de la 3DS commençait à circuler. Elle laissait entendre que la 3DS garderait, à l’insu de son propriétaire, une trace permanente de toute utilisation de cartes flash.
En théorie, Nintendo dispose de plusieurs méthodes de détection, à commencer par une mesure de la consommation électrique, sensiblement supérieure pour une carte flash que pour une cartouche officielle. Il suffirait alors à Nintendo de « piéger » une mise à jour pour désactiver (« briquer ») de manière permanente les consoles incriminées.
Confirmation officieuse
Dans la foulée, Enterking apportait du crédit à cette rumeur. Le revendeur a déclaré se refuser à racheter toute console sur laquelle un « périphérique illégal, ou non approuvé par Nintendo » a été utilisé. La raison de ce refus est simple : Enterking ne veut pas courir le risque de voir une console rachetée d’occasion par ses soins, puis revendue, désactivée par une future mise à jour.
Une position qui semble confirmer le dernier élément de la rumeur : les revendeurs disposeraient d’un moyen sûr pour diagnostiquer les consoles en infraction. Nintendo aurait-il trouvé un moyen efficace de lutter contre le piratage sur sa console portable ?
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