Si Nexus est, à n’en pas douter, un simulateur de combats spatiaux, ce n’est pas tant l’adrénaline et les réflexes du joueur qui seront sollicités, que sa matière grise… et sa patience. Grâce à une
interface chargée mais claire, le jeu automatise en effet la plupart des man?”uvres courantes (attaques, esquives, changements de cap, etc.).L’idée est discutable : vu la lenteur des déplacements de l’énorme vaisseau que l’on pilote, on se retrouve plus souvent à contempler son écran qu’à participer au jeu. Ajoutez à cela un scénario certes riche mais peu rythmé, et
vous comprendrez que Nexus finisse par faire bâiller. Dommage, c’est bien là le seul défaut de ce jeu, par ailleurs fort bien réalisé.
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