La mise en service de Western Télésauvegarde est rapide, puisqu’elle était déjà pré-installée dans l’offre de base Western Access (accès Internet + téléphonie locale, nationale et internationale). Elle peut d’ailleurs être initialisée par le client lui-même.Les télésauvegardes peuvent être entièrement automatisées ou opérées manuellement à travers l’accès Western Telecom. Elles peuvent être sécurisées par chiffrement, contrôle d’intégrité, authentification et non-répudiation. Les données sont stockées dans le centre de données de Western Telecom sur des disques durs et magnéto-optiques, qui sont les seuls supports à garantir une stabilité à vie.La restauration s’effectue à la demande 24 h/24. Une analyse différentielle est faite entre deux sauvegardes. Seules les parties modifiées d’un fichier sont alors transférées aux centres de télésauvegarde.Cette prestation est produite par la filiale ASP-Land de Western Telecom. Elle est facturée au forfait selon la classe de volume stockable.Outre Western Acces, le NetBouquet comprenait déjà Western Messagerie unifiée, Western Multisites, Western Web et Western Mobilité.Au 31 juillet dernier, après un premier trimestre de commercialisation, Western Telecom avait déjà engrangé cinquante-trois contrats NetBouquet pour une valeur annuelle totale de près de 10 millions de francs.Quarante-huit de ces contrats ont été décrochés par le réseau de vente direct (huit commerciaux en Île-de-France, deux à Lyon, un à Lille). Trente-cinq contrats ont été signés par des PME déjà clientes de Western Telecom, dix-huit par de nouveaux clients. Le NetBouquet est adopté à 37 % par des PME de moins de vingt personnes, à 33 % par des entreprises de vingt à quarante-neuf personnes, et à 30 % par des entreprises de plus de cinquante personnes.Toutes ces entreprises ont évidemment souscrit au module de base Western Access. 68 % d’entre elles ont également adopté le pack Western Messagerie Unifiée, 14 % le pack Western Mobilité, 9,5 % le pack Western Web, et 8 % le pack Western Multisites.Au 31 juillet dernier, le chiffre d’affaires moyen généré par un client NetBouquet était donc de 187 700 francs ht, soit une progression de 682 % par rapport au chiffre d’affaires moyen de 24 000 francs ht généré en 1999 par un client simplement abonné aux services de téléphonie longue distance première manière de Western Telecom. En valeur annuelle, cette progression devrait même être de 808 %.” Ces résultats, explique Edmond Cohen, PDG, commencent à produire un impact en terme de chiffre d’affaires. Ils confirment l’existence d’une forte attente du marché pour notre offre de services et notre vision marketing. “Le lancement du NetBouquet aura cependant réclamé de l’opérateur un engagement de plus de 33 millions de francs en dépenses de développement, d’intégration, de marketing et autres dépenses. Les résultats de Western Telecom restent donc pour le moment relativement fragiles. Au premier semestre, son chiffre d’affaires s’est établi à 45,6 millions de francs, pour un résultat d’exploitation négatif de 36,4 millions de francs. Un an plus tôt, Western Telecom avait réalisé un chiffre d’affaires de 31,4 millions de francs, pour un résultat dexploitation négatif de 19,3 millions (www.western.fr).
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