” Il est très difficile, voire impossible, d’éliminer les bugs d’un système logiciel aussi important “, a déclaré le président de NEC, Koji Nishigaki, lors d’une conférence de presse. ” Un combiné 3G est comme un ordinateur […]. Même chez NEC, nos spécialistes des réseaux n’ont jamais développé un logiciel d’une taille aussi importante “, a-t-il souligné.NEC se positionne comme l’un des principaux fournisseurs de combinés et d’infrastructures de réseaux de troisième génération. Selon Nishigaki, NTT DoCoMo ne devrait plus connaître de retard dans le lancement de ses services. En avril, l’opérateur japonais avait repoussé au 1er octobre son offre commerciale, prévue pour le 30 mai. Seule une poignée d’abonnés testeront les services à partir de la fin mai.Lundi, British Telecommunications a, à son tour, retardé son test 3G, qu’il avait organisé sur l’île de Man. L’opérateur britannique a expliqué que sa filiale de l’île de Man, Manx Telecom, reportait d’au moins trois mois ce lancement, prévu en mai, après avoir constaté un problème logiciel sur les téléphones fournis par NEC.” D’habitude, les tests d’équipement télécoms ne sont pas aussi durs et il n’y en a pas tant, a expliqué Koji Nishigaki. Mais dans le domaine de l’informatique, les systèmes d’exploitation, notamment, doivent être testés plus sérieusement et dans différentes conditions […]. La seule solution, c’est de faire tester les appareils par des clients, et ensuite les proposer sur le marché. “
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