La nouvelle version du
PGI de Microsoft intronise le client de messagerie Microsoft Outlook 2003 comme interface universelle d’exploitation pour la comptabilité, les ventes, la gestion de production,
la relation clientèle et les analyses décisionnelles. Lapproche de Navision est pertinente malgré les questions qu’elle soulève sur le plan de la sécurité.Les échanges de courriers avec les clients peuvent être couplés aux données gérées par le PGI, par un simple clic droit. ‘ Un système de balises actives signale à l’utilisateur que la signature d’un e-mail
correspond à un client. Il suffit de cliquer pour accéder à sa fiche d’identité ‘, détaille Xavier Cournichoux, responsable marketing Microsoft Business Solutions. Il est possible ainsi de visualiser factures, entrées
comptables ou opportunités liées à un utilisateur. Autre avantage, les rendez-vous et listes de contacts sont consultables sans quitter l’interface du PGI.
Alertes à la demande
Le PGI est désormais doté d’un système de notifications et d’alertes sur événement. À partir de listes déroulantes, il est possible de choisir de recevoir un e-mail ou d’effectuer une écriture au sein du SGBD
central, lorsqu’une commande n’a pas été confirmée. Côté décisionnel, Navision 4.0 ne déroge pas à la règle du tout-intégré.La constitution d’un cube, voire de calculs analytiques, s’effectue, là encore, à l’aide de listes déroulantes, qui facilitent la sélection des dimensions ventes, régions, ou articles par exemple. Pour ce faire, le
PGI exploite
Analysis Services de SQL Server. Pour sa part, la restitution d’indicateurs est réalisée à l’aide d’un logiciel tiers (Targit BI).L’utilisateur peut également générer automatiquement un fichier Excel, ‘ voire un tableau croisé dynamique qui maintient la liaison avec le SGBD ‘, relève Xavier Cournichoux. Une fois n’est
pas coutume, Navision 4.0 embarque un serveur
SMTP et Database Server. L’utilisation d’Exchange Server et du SGBD SQL Server n’est donc pas indispensable.
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