Jusqu’à présent plutôt permissives quant à l’utilisation de leurs ordinateurs par les étudiants et les professeurs, les universités américaines ont finalement décidé de sévir. 40 % d’entre elles interdisent dorénavant l’utilisation du logiciel Napster pour l’échange de fichiers musicaux.
Plus qu’une prise de conscience morale, c’est la peur du procès qui a motivé cette décision. La responsabilité des établissements pourrait en effet être engagée en cas de poursuites judiciaires. Une sage précaution, au moment où la société éditrice de Napster est assignée devant les tribunaux par les grands noms de l’industrie du disque.
Le procès aura lieu le 2 octobre prochain.
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