L’assistant numérique de Typhoon illustre l’importance du logiciel de navigation. Car si Typhoon est le seul à avoir opté en standard pour des cartes Navteq de France et de dix-sept pays d’Europe, très précises, il embarque
aussi le logiciel Falk Navigator 2.1.20,62, trop pointilleux. Il réclame en effet la saisie exacte et intégrale du type de voie recherchée. Inutile de saisir ‘ Maxime Petit ‘. Lorsque la mention
‘ rue ‘, ‘ avenue ‘ est omise, le logiciel ne trouve pas d’occurrence.Les points d’intérêt sont peu nombreux et ne comprennent pas les stations-service. Ce logiciel plante régulièrement. La qualité du guidage est dans la moyenne. La reconnaissance des codes postaux est bonne, l’anticipation des
annonces aussi, même si elle est souvent tardive. Malheureusement, le terminal perd la position du véhicule autour des grands immeubles de Saint-Quentin-en-Yvelines. Ce qui peut devenir dangereux. Au grand rond-point de Guyancourt, il a émis des
annonces telles que ‘ à gauche ‘, puis ‘ à droite ‘…Les expressions sont par ailleurs ambiguës : ‘ Tenez la droite ‘ pour annoncer une sortie. Un comportement erratique, absent du 3500G, pourtant plus bas de gamme. Le recalcul d’itinéraires est
long. Dommage car l’ergonomie du produit est bonne.
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