D’un côté, le silicium, un matériau bon marché à la base des microprocesseurs. De l’autre, l’arséniure de gallium (GaAs), utilisé dans les diodes laser, qui offre d’excellentes performances, mais revient très cher. Entre les deux, une incompatibilité de leur structure cristalline. En ajoutant entre les deux éléments, une couche d’un troisième composant, Motorola est parvenu à les faire coexister. Cette découverte se traduira par la création de circuits intégrés plus rapides et dune taille réduite.
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