N’en déplaise à Pascal Nègre, j’aime écouter de la musique, même lorsque je ne l’ai pas achetée ! J’adore dénicher de nouveaux titres, et les réécouter, souvent bien plus de cinq fois. C’est la découverte qui me pousse la plupart du temps à acheter des albums, prendre des places de concert, télécharger des titres sur des plates-formes “ pures ”. J’ai applaudi l’apparition des Spotify, Deezer et consorts. Et pleuré le début de leurs fermetures, avec la limitation de la durée d’écoute et du nombre de lectures, que monsieur Nègre est parvenu à imposer. Mais les dinosaures de la production musicale ne peuvent anticiper ni comprendre Internet, ses usages et ses usagers.Aujourd’hui, l’écoute libre, celle qui me permet de me décider à acheter un album existe encore. Elle passe entre autres par YouTube et est facilitée par l’émergence de sites malins, pratiques et ludiques, tel Music Video Genome. Grâce à ce site, j’ai écrit cet article soutenu par l’univers musical de Flotation Toy Warning, un groupe méconnu que je vous invite à découvrir.http://musicvideogenome.com
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