Passer au contenu

Mobilisation sur la Toile pour soutenir le Japon

Plusieurs entreprises et organismes, ainsi que des artistes, proposent des initiatives pour récolter des dons, en faveur du pays victime d’une catastrophe majeure.

Le Web se mobilise dans le cadre de la catastrophe qui touche le Japon, où un séisme et un tsunami ont entraîné un grave accident nucléaire. Google a déjà mis en place un outil pour aider à la localisation des victimes. De son côté, Apple a remplacé, sur la page d’accueil de son site japonais, l’espace dévolu à l’iPad 2 par un lien permettant d’effectuer des dons à la Croix-Rouge américaine (les internautes français ne peuvent pas utiliser ce moyen).

En France, la Croix-Rouge propose aux internautes d’effectuer un don en ligne mais aussi d’intégrer sur leurs sites des bannières de différents formats, comme celle ci-dessous.


Cliquez ici

Les déclinaisons nationales d’Amazon (France, Grande-Bretagne, etc.) renvoient vers les différents bureaux de la Croix-Rouge. De son côté, Skype indique qu’il permet « l’accès gratuit à Internet par Wi-Fi au Japon via Skype Access »

L’éditeur Zynga, célèbre pour son jeu Farmville, participe également à la mobilisation. Il avait fait de même au moment du terrible séisme qui avait frappé Haïti. Il propose aux joueurs d’acheter, dans ses différents jeux (Cityville, Farmville), des biens virtuels, un moyen de récolter des fonds pour Save the Children.

La chanteuse Lady Gaga propose elle à ses fans, et aux autres, de pré-commander sur son site un bracelet vendu 5 euros. Ils peuvent y ajouter une somme (5, 10, 25, 75 ou 100 euros). En deux jours, elle aurait déjà récolté 250 000 dollars, comme elle l’explique sur son fil Twitter.

Rappelons aux internautes français qu’ils peuvent effectuer des dons en ligne auprès de multiples organismes, comme la Croix-Rouge, déjà citée, mais aussi Care France, MercyCorps, le Secours populaire, le Secours catholique, Médecins sans frontières

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Guillaume Deleurence