De ‘ Mju ‘, il ne conserve par ailleurs que le nom car, comme la version 800, l’aspect de galet lisse original de la série a laissé place à un design parallélépipédique, toujours très élégant, mais plus
classique. Le Mju 600 est proposé en trois couleurs (gris, bordeau et bleu). Sa finition est ‘ tout temps ‘ : il devrait donc supporter une pluie légère, ce que nous n’avons pas eu l’occasion de
tester.En dépit de son gabarit moyen (ce n’est pas un ultracompact), le Mju 600 ne possède pas de viseur. Le cadrage s’effectue sur un écran de belle taille (6,4 cm de diagonale) et d’une excellente précision.
L’appareil est conçu très clairement pour être utilisé de façon automatique. Il propose quelques réglages mais dont la disposition n’est ni intuitive, ni pratique. En fait, le Mju 600 a peu ou prou la même organisation de menus
que les bridges de la marque (C-7070, C-8080, etc.).Si cet agencement convient bien à un utilisateur avancé, il est mal adapté à un photographe ‘ familial ‘. Ce dernier point est accentué par le fait que certaines options sont interdépendantes. Par exemple, la
configuration de la qualité d’image dépend de celle de la sensibilité. Et il faut un certain temps pour le comprendre !Fort heureusement, les modes scènes qui sont les réglages naturels de ce type d’appareil sont extrêmement bien conçus. Chaque mode est agrémenté d’une image qui illustre son utilisation. Simple et efficace ! Au final,
le Mju est un appareil raisonnable qui n’a ni particularité extraordinaire, ni défaut vraiment saillant.
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