La cour d’appel fédérale doit rendre d’un jour à l’autre sa décision dans le procès intenté par le département de la Justice contre Microsoft pour ses pratiques monopolistiques.Le tribunal peut surseoir au verdict déjà prononcé ou l’avaliser, provoquant la scission du géant informatique en deux entités. “Rien de tout cela “, a répondu Ballmer à la question de savoir si sa société avait pris ses dispositions en cas de maintien du verdict. Le PDG de Microsoft, qui multiplie ces derniers jours les rencontres avec des hommes politiques bien placés, a ajouté que l’absence de plan d’urgence ne signifie pas que la société anticipe la décision de la cour d’appel.Ballmer a continué de défendre son entreprise, affirmant qu’elle ne détenait pas de monopole et déclarant notamment :“Nous croyons que nos pratiques commerciales ont toujours été à 100 % conformes à la loi (…). Je ne crois pas que nous ayons sur le marché une influence suffisante pour augmenter les prix et arrêter linnovation.”
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