Méthodologie des testsLes tests de rapidité ont été réalisés avec des macros sous Excel, Word et Photoshop qui renvoient des performances de calcul du processeur et…
Méthodologie des tests Les tests de rapidité ont été réalisés avec des macros sous Excel, Word et Photoshop qui renvoient des performances de calcul du processeur et du disque. Lors de l’exécution d’une macro, un fichier enregistre le nombre de transactions et le temps d’exécution. Les résultats sont ensuite reportés sous Excel afin d’extraire les performances au niveau processeur, affichage 2D et disque dur.Chaque test est effectué deux fois. Pour la connectique, le laboratoire a effectué un report du nombre de chaque type de connecteur (PCI, Com, IEEE, USB…). L’ergonomie a été appréciée à travers la conception et l’aspect pratique du portable, comme l’accès à la batterie, la mémoire ou encore l’installation du système d’exploitation.Pour l’affichage, une appréciation a été donnée sur la qualité de l’écran ainsi que sur sa taille.Pour l’encombrement, chaque portable a été mesuré et pesé.Enfin, les tests d’autonomie ont eu lieu avec une procédure standard appliquée à tous les modèles (application GTBIRD).
Les critéres de choix Rapidité Les modèles testés fonctionnent avec des processeurs puissants, les constructeurs ayant majoritairement retenu des Pentium III affichant des fréquences comprises entre 500 et 650 MHz. Seul Sony fait exception à la règle en adoptant le processeur Transmeta Crusoe TM5600 sur son VAIO.
Au regard des résultats des tests de rapidité, le choix de Sony pour ce processeur se révèle décevant. Mais, bien que la fréquence du processeur soit de 600 MHz, les performances sont à peine équivalentes à celles d’un portable équipé d’un Celeron à 300 MHz !
Autre contre-performance, le TravelMate d’Acer équipé du processeur le plus puissant de ce comparatif (PIII 650 MHz) obtient des performances moyennes. L’indice de rapidité du processeur et les performances du disque dur sont médiocres et l’on peut, avec certitude, attribuer ce résultat au choix du chipset, Acer ayant préféré un jeu de composants ALI quand les autres modèles s’appuient sur celui d’Intel.
Beaucoup plus véloce, le Portégé 3480CT de Toshiba s’impose, devançant de peu le ThinkPad X20 d’IBM, l’Armada M300 de Compaq et le Versa Lite FXi de NEC.
Portégé 3480CT de Toshiba
ThinkPad X20 d’IBM
9 ultraportables de moins de 2 kg : Connectique La taille des ultraportables n’autorisant pas de surenchère en matière d’équipements, il semble logique de s’attacher à l’aspect connectique. Le port USB, tout d’abord, s’est imposé puisqu’il figure désormais sur tous les modèles.
Plus rare, le port FireWire n’est présent que sur les modèles d’Acer et de Sony. C’est regrettable dans la mesure où il permet, outre la connexion d’un caméscope DV, de raccorder disques durs, graveurs et autres périphériques.
Le modem 56K (en attendant l’ADSL) est présent sur tous les portables. En revanche, seuls IBM et Sony ont fait l’impasse sur l’interface réseau 10/100. Pour raccorder le portable à un écran externe, les constructeurs ont tous recours à un port VGA, même si pour les modèles de Toshiba et de Sony il faut passer respectivement par le duplicateur de port et le câble adaptateur (fournis).
Parmi les autres différences notables, NEC et Toshiba permettent de connecter une carte PC-Card de type III ou deux de type II quand les autres modèles se contentent d’un connecteur pour une carte de type II.
TravelMate 350TE d’Acer
Versa Lite FXi de NEC
9 ultraportables de moins de 2 kg : Ergonomie Plus le portable est petit, plus il est délicat d’en faire un modèle ergonomique, qu’il s’agisse du clavier ou de l’écran notamment. Le clavier du ThinkPad, associé à un excellent trackpoint, est ferme et précis, celui du TravelMate d’Acer est incurvé pour plus de confort.
Mais pour les autres modèles tout n’est pas parfait. Ainsi, le dispositif de pointage du Portégé s’avère peu pratique. Le VAIO de Sony, du fait de sa petite taille, dispose d’un clavier étroit. Enfin, les touches des claviers de l’Armada de Compaq et du Lifebook de Fujitsu Siemens sont un peu molles, ce qui nuit à la précision.
L’écran est un autre composant essentiel. Tous les écrans des modèles figurant dans ce comparatif sont dotés d’une matrice TFT. Six d’entre elles disposent d’un écran 12,1 pouces. Cette taille représente un bon compromis entre l’encombrement et la qualité d’affichage. Seul Acer propose pour le TravelMate un écran de 13,3 pouces, un luxe pour un ultraportable.
Moins généreux, le Portégé se contente d’un écran 11,3 pouces, tandis que le VAIO, du fait de sa petite taille, doit se contenter d’un écran de 8,9 pouces.
TravelMate 350TE d’Acer
ThinkPad X20 d’IBM
9 ultraportables de moins de 2 kg : Equipement Parmi les modèles les mieux pourvus en capacité mémoire et de stockage figurent le Latitude LS de Dell et le ThinkPad X20 d’IBM qui disposent tous deux de 128 Mo de mémoire vive et d’un disque dur de 20 Go. Cependant, le Latitude prend l’avantage avec son lecteur de CD-ROM.
Le ThinkPad, lui, ne compte ni lecteur de CD ni lecteur de disquettes, ce qui impose de passer par l’interface réseau pour installer des applications. Toujours dans le registre du stockage, NEC et Fujitsu Siemens se contentent d’un disque de 6 Go, suffisant pour la plupart des besoins. En option, les constructeurs proposent le plus souvent des périphériques tels que les graveurs Zip ou LS120.
Parmi les originalités, le TravelMate d’Acer dispose, en plus d’un équipement homogène, d’un lecteur de carte à puce. Couplée à un logiciel, la carte permet de crypter des données. Le modèle de Sony, quant à lui, est pourvu d’une caméra intégrée à l’écran pour tous les adeptes de la vidéoconférence.
De même, le NV5000 de Samsung offre, en standard, une caméra que l’on branche sur le port USB et un lecteur MP3 intégré disposant de 32 Mo de mémoire. Enfin, le ThinkPad X20 est équipé d’un connecteur Ultraport pour recevoir une caméra en option.
Latitude LS de Dell
TravelMate 350TE d’Acer
9 ultraportables de moins de 2 kg : Autonomie La plupart des modèles, à l’exception du VAIO de Sony, du Latitude de Dell et du NV5000 de Samsung, permettent de baisser la fréquence du processeur en s’appuyant sur la technologie SpeedStep, d’où des gains en autonomie.
Le Portégé de Toshiba et le Versa Lite de NEC, peuvent accentuer cette baisse en recourant à un réglage supplémentaire. On peut alors passer d’une fréquence d’origine de 600 MHz à 100 MHz, voire à 7 MHz, des cadences faibles mais suffisantes pour des tâches de saisie.
Cela étant, les tests d’autonomie font ressortir des disparités. Le Versa Lite atteint 6 h 33, distançant les portables d’IBM, de Toshiba et de Sony qui font pratiquement jeu égal avec environ 4 h 30 d’autonomie. Il faut préciser que du fait du processeur Crusoe et de la taille de son écran, le VAIO de Sony bénéficie d’une autonomie comparable à celle des machines équipées de Pentium III avec une batterie d’une capacité de moitié inférieure.
Plus décevant, le Lifebook s’éteint après 3 h 50 de marche et les portables d’Acer, Dell et Compaq après 3 h 15. Le modèle de Samsung arrive bon dernier avec 2 h 20 d’autonomie.
Versa Lite FXi de NEC
ThinkPad X20 d’IBM, VAIO C1VE de Sony
9 ultraportables de moins de 2 kg : Encombrement Indiscutablement, la palme revient au VAIO de Sony dont la taille et le poids (moins de 1 kg) n’excèdent pas ceux d’un gros agenda papier.
Le NV5000 de Samsung (1,3 kg) est également peu épais avec 24 mm, ce qui permet de le glisser dans un porte-documents.
Ensuite figurent le Portégé de Toshiba (1,4 kg) et l’Armada de Compaq (1,5 kg) dont l’épaisseur n’excède pas 26 mm.
Le plus lourd, bien que peu volumineux, est le Lifebook de Fujitsu Siemens qui pèse environ 2 kg du fait de son lecteur de CD intégré.
VAIO C1VE de Sony
NV5000 de Samsung
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