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Mercedes, BMW, Skoda, Toyota, ou Nissan : nos 10 voitures électriques les plus attendues en 2022

Porsche Taycan, Dacia Spring, Mercedes EQS, ou encore BMW i4… l’année 2021 a été particulièrement savoureuse en matière de nouvelles voitures électriques. Et si 2022 mettait la barre encore plus haut ? Voici les dix modèles de véhicules zéro émission que nous sommes les plus impatients de tester. 

Volkswagen ID.Buzz

  • En deux mots : 70 ans après le lancement du Combi, VW s’apprête à rejouer la même mélodie. Le constructeur allemand va miser sur la fibre nostalgique, bien sûr, mais pas uniquement. Disponible en version van ou utilitaire, cette itération électrique embarquera un moteur de 150 kW (201 ch) et des batteries allant de 48 kWh à 111 kWh (jusqu’à 550 km d’autonomie).
  • Pourquoi on l’attend : parce que nous avons tous un côté hippie en nous qui a désespérément besoin de s’exprimer en pleine crise sanitaire. Mais aussi parce que le combi, au même titre que la coccinelle est l’un des véhicules les plus emblématiques de l’histoire automobile et que sa résurrection électrique nous fait tout de même un peu rêver. 
  • Date de lancement : annonce le 9 mars, pour une commercialisation en octobre

Skoda Enyaq Coupé

  • En deux mots : Skoda est l’un des constructeurs les plus intéressants du marché. Ses véhicules basés sur les mêmes plates-formes que VW et Seat sont vendus moins chers que leurs équivalents dans le même groupe, pour un niveau de performances égal et un équipement au moins équivalent.
  • Pourquoi on l’attend : après avoir testé, et apprécié le Skoda Enyaq, premier modèle 100% électrique de la marque tchèque, nous sommes particulièrement impatients de voir ce que peut donner l’évolution de ce SUV dans un format nettement plus sportif et agressif. 
  • Date de lancement : présentation fin janvier, pour une commercialisation cet été.

Toyota bZ4x

  • En deux mots : En dehors d’un nom à coucher dehors, la voiture de Toyota a tout pour marquer l’année à venir. Le Grand SUV familial est l’un des 11 véhicules électriques dévoilés par la marque, et le premier d’entre eux à prendre la route. Plus grand qu’un RAV4, il se démarque du reste du marché par son moteur sur les roues avant (traction) à l’opposé de la quasi-intégralité des véhicules électriques qui optent pour la propulsion lorsqu’ils n’ont pas une transmission intégrale. 
  • Pourquoi on l’attend : parce qu’après avoir vanté la supériorité de la voiture hybride, Toyota s’est enfin décidé à passer au 100% électrique. 
  • Date de lancement : déjà présenté, commercialisation en juin.

Smart SUV

  • En deux mots : dévoilé lors de l’IAAA de Munich, en septembre dernier, cette voiture est l’aboutissement du projet ForMore, un concept de SUV compact datant de 2005 que Smart n’a jamais mené à bien. 
  • Pourquoi on l’attend : parce que Mercedes s’est imposé comme le plus sérieux rival de Tesla en matière d’autonomie, et que la simple idée que sa « marque d’entrée de gamme » bénéficie de ce savoir-faire est une sacrée promesse. 
  • Date de lancement : second semestre.

Renault Mégane E-Tech Electric

  • En deux mots : dix ans après la Zoé et quelques mois après avoir électrifié sa Twingo, Renault passe aux affaires sérieuses. La Mégane E-Tech électrique est le véhicule censé incarner l’électrification totale de la marque qui doit aboutir avant 2030. L’enjeu est double pour la marque au losange : ne pas se laisser distancer dans la course à l’électrique, et s’imposer comme une référence sur le segment des compactes.
  • Pourquoi on l’attend : parce que nous l’avons vue au salon de Munich, qu’elle est belle, et qu’en plus elle promet une véritable révolution dans l’habitacle avec un système signé Google.
  • Date de lancement : tout juste commercialisée, la Mégane E-Tech 100% électrique devrait débarquer sur les routes dans les tout prochains jours. 

Mercedes EQE 

  • En deux mots : si pour Mercedes, l’EQS était la réponse à la Tesla Model S, l’EQE devrait attaquer de front le modèle star de l’Américain, la Model 3. Avec son design soigné et un habitacle futuriste doté de l’Hyperscreen, son énorme écran, l’EQE a de quoi rivaliser. Quant à l’autonomie, elle oscille entre 545 et 660 km, selon la configuration. Autant dire que les angles d’attaque de Tesla sont réduits. 
  • Pourquoi on l’attend : parce que nous avons vu l’EQS à l’œuvre et que la déclinaison électrique de la Classe E risque d’être du même acabit. 
  • Date de lancement : cet été. 

MG 5

En deux mots : MG est le « petit » constructeur qui monte en ce moment. Sa prochaine nouveauté n’est autre que la MG5, une déclinaison pour l’Europe de la Roewe i5 que la SAIC, la marque propriétaire de MG, commercialise déjà en Chine. De fait, nous avons déjà une idée de ses performances ainsi que de son autonomie (400 km), mais ce que nous attendons pour 2022, c’est un nouveau design et, surtout, un prix qui s’annonce très attractif. 

Pourquoi on l’attend : parce que la MG5 sera le premier break électrique du marché. Et parce qu’un joli break a autrement plus d’allure qu’un gros SUV.

Date de lancement : février.

Nissan Ariya

  • En deux mots : fruit du concept éponyme, dévoilé au salon de Tokyo 2019, le Nissan Ariya est le second modèle 100% électrique de la marque japonaise après l’incontournable Leaf. C’est un SUV au look sportif qui disposera de trois niveaux de finition dont un le dotant d’une motorisation de 290 kW (395 ch) pour 600 Nm de couple. 
  • Pourquoi on l’attend : parce qu’en matière de voitures électriques, Nissan a une approche souvent différente. C’est le fabricant japonais qui avait mis au point le système One Pedal qui permettait de récupérer de l’autonomie en relevant la pédale d’accélérateur. L’Ariya dispose aussi de son lot d’innovations dont un système de refroidissement liquide pour les batteries. Bref, nous avons hâte d’être surpris. 
  • Date de lancement : mars.

BMW i7

  • En deux mots : L’offensive électrique de BMW est bien lancée. Le constructeur munichois a débuté l’exercice avec deux modèles impressionnants l’i4 et l’iX. Il devrait finir l’année en apothéose avec un monstre, l’i7, déclinaison électrique de sa série 7. 
  • Pourquoi on l’attend : parce que nous avons essayé l’i4 et qu’il paraît évident que BMW ne plaisante pas avec ses berlines. Mais surtout, parce que nous voulons assister aux premières loges au match des berlines électriques haut de gamme entre l’i7 et l’EQS. 
  • Date de lancement : Présentation au printemps, pour un lancement avant la fin de l’année.

Audi A6 e-tron

  • En deux mots : De la future A6 e-tron, on ne connait que le concept dévoilé en 2021 à Shanghai. Pour l’heure, la seule certitude concerne la plate-forme sur laquelle elle sera développée, la fameuse PPE partagée avec le cousin Porsche. Mais celle-ci laisse présager un combo puissance/autonomie particulièrement flamboyant. Jugez plutôt : 350 kW pour les deux moteurs (475 ch), 800 Nm de couple, et 700 km d’autonomie. 
  • Pourquoi on l’attend : Parce qu’en 2021, Audi a probablement commercialisé la plus impressionnante des voitures électriques avec l’e-tron RS. Même si l’A6 ne devrait pas tutoyer les mêmes sommets, elle restera plus « accessible », du moins plus grand public. 
  • Date de lancement : Présentation à l’automne, date de lancement inconnue.

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Dimitri Charitsis