Longtemps circonscrit à quelques technophiles curieux, le cloud gaming s’est nettement popularisé ces dernières années. À tel point que certains analystes voient dans cette manière de consommer du jeu vidéo l’avenir du secteur. Nous n’en sommes certes pas encore à ce stade, et comme dans beaucoup d’autres domaines, il est probable que les usages se superposent plutôt qu’ils ne se supplantent.
Ceci étant, en 2024, jouer par ce biais est devenu une option tout à fait viable (sous certaines conditions). Mais quel service de cloud gaming faut-il choisir en 2024 ? Nous vous proposons ce dossier afin de vous aider à y voir plus clair dans un catalogue d’offres assez hétérogènes.
Le cloud gaming, l’avenir du jeu vidéo ?
Avant tout, résumons en quelques mots le principe du jeu en nuage. Des serveurs diffusent sur les appareils clients (smartphone, ordinateur, tablette, téléviseur…) un flux vidéo. C’est le même principe que n’importe quel service de vidéo à la demande.
Toutefois, pour le jeu vidéo, deux contraintes supplémentaires viennent complexifier le processus : le cloud gaming nécessite une capacité de calcul bien supérieure à celle nécessaire à la simple diffusion de films ou séries. Surtout, pour que l’expérience soit probante, il faut que les actions du client soient traitées avec la latence la plus faible possible. Pour prendre un exemple simple, s’il n’est pas dérangeant d’avoir quelques millisecondes de retard entre l’appui sur le bouton pause de sa télécommande et l’arrêt de son programme Netflix, il faut à l’inverse que le moindre mouvement de joystick ou clic de souris soit traité et répercuté dans un délai imperceptible pour un humain. C’est donc une partie de ping-pong interrompue entre le serveur et le client ; partie qui doit s’effectuer en parfaite synchronisation.
Si le cloud gaming – formellement appelé jeu dans le nuage ou jeu à la demande en français – fait régulièrement parler de nos jours, la pratique n’est pas nouvelle. L’un des acteurs majeurs du secteur, NVIDIA, a inauguré la version bêta de son GeForce Now en 2015 ; l’ancêtre du PlayStation Now, Gaikai, a fait ses débuts en 2014. Nous pouvons même remonter encore plus loin : à l’année 2010 avec le lancement du service OnLive aux États-Unis, ou simplement de SFR Jeux dans l’Hexagone la même année.
Au cours de la précédente décennie, le marché est quand même resté assez confidentiel. Mais la plupart des analystes s’accordaient sur un fort engouement pour celle qui arrivait. En témoigne la projection ci-dessous, publiée par Statista en 2019.
Les données divergent selon les rapports d’étude de marché, mais les estimations de Statista se sont avérées bien inférieures à la réalité. Rien d’anormal, une pandémie, associée à une pénurie sur de nombreux composants informatiques, au premier rang desquels les cartes graphiques, sont passées par là entre-temps.
Le cabinet Mordor Intelligence – qui, espérons-le, n’est pas une succursale gérée par Sauron – avance un chiffre d’affaires de 1,69 milliard de dollars pour le secteur en 2023. Il prévoit 6,80 milliards d’ici 2028, avec un taux de croissance annuel d’environ 32 %. Par rapport à 2019, le nombre d’utilisateurs de services de cloud gaming a plus que doublé, selon le même institut.
Un autre cabinet, Newzoo, évoque carrément 8,17 milliards de dollars en 2025 pour le marché du cloud gaming, contre 2,38 milliards de dollars en 2022. Le nombre de joueurs passerait d’une trentaine de millions à presque quatre-vingt-dix millions sur la même période.
Sans entrer dans une bataille de chiffres, une certitude : le secteur est en plein essor. Les raisons de cette croissance sont multiples. Prosaïquement, elle émane d’une quantité de joueurs toujours plus importante à travers le monde, d’une hausse du coût d’acquisition du matériel – surtout pour profiter des jeux les plus récents dans de bonnes conditions – et bien sûr, des progrès techniques réalisés ; côté client avec des connexions toujours plus stables et performantes ; côté fournisseur avec des infrastructures réseau sans cesse perfectionnées. Néanmoins, l’échec cuisant de Google Stadia a bien illustré les nombreux défis à surmonter pour proposer quelque chose de satisfaisant.
Une histoire de latence
En 2024, sous réserve de bénéficier d’une connexion très haut débit (minimum 30 Mb/s), les meilleurs services de cloud gaming délivrent une expérience suffisamment confortable pour bon nombre de joueurs. Avec plusieurs avantages : jeux disponibles instantanément sans téléchargement, y compris sur des appareils incapables de les faire fonctionner localement ; facture énergétique contenue.
Les inconvénients ? Une absolue dépendance à sa connexion Internet, avec des risques de latence ou d’une qualité visuelle dégradée, et une réactivité moindre qu’en local à framerate équivalent.
Cette longue introduction terminée, intéressons-nous maintenant aux principales formules proposées. Nous en avons retenu quatre, car elles représentent l’essentiel des abonnements (enfin, surtout deux d’entre elles). Bien sûr, chacune a ses avantages et inconvénients ; souvent, elles ne ciblent pas le même public. Par ailleurs, nous focalisons uniquement sur le cloud gaming ; un service comme celui de Shadow, qui relève d’un champ plus vaste – PC dans le cloud – est volontairement écarté.
Ultime précision, ce dossier n’a pas vocation à être un test de chacune des formules. Il est de toute façon assez hasardeux de se prononcer sur la qualité de tels services. Et pour cause, celle-ci est totalement dépendante de la connexion Internet ; celle du domicile, mais aussi celle utilisée pour connecter le client au routeur (connexion filaire ou sans-fil, normes utilisées…). Au-delà du débit, de moins en moins limitant à mesure que le très haut débit alimente de plus en plus de foyers, c’est surtout la latence qui est le facteur clef d’une bonne ou d’une mauvaise expérience cloud gaming. Or, en fonction de sa localisation et de celle des serveurs, cette latence peut-être très variable d’un client à l’autre.
En conséquence, si indépendamment de la formule, vous souhaitez juste voir quelle offre de cloud gaming est la plus satisfaisante chez vous, le mieux reste de tester chaque service un par un (les abonnements sont sans engagement, et il y a souvent des périodes d’essai gratuites).
Notre sélection des meilleurs services de cloud gaming en 2024
Xbox Cloud Gaming : la puissance de frappe de Microsoft
Malgré son arrivée tardive sur ce marché, Microsoft est parvenue à promouvoir son Xbox Cloud Gaming, toujours en version bêta, par le biais de son abonnement Game Pass Ultimate. Le service de cloud gaming de la firme de Redmond est compris dans l’abonnement Xbox Game Pass Ultimate depuis 2020.
Cette version, facturée 14,99 euros par mois, soit cinq (PC) ou quatre (Xbox) euros de plus que le Xbox Game Pass seul, inclut en effet l’accès au Xbox Cloud Gaming : un service de jeu dans le nuage qui fournit un rendu équivalent à celui d’une Xbox Series X.
Le catalogue Game Pass comprend environ 400 jeux ; une centaine sont disponibles via le cloud. Nous y trouvons des titres tels que A Plague Tale : Requiem, Age of Empires IV : Édition anniversaire, DOOM ou encore Fallout 4 pour n’en citer que quelques-uns.
La principale force du Game Pass Ultimate, et par extension du Xbox Cloud Gaming, réside dans son caractère tout-en-un : l’abonnement débloque à la fois l’accès au catalogue et au service de jeu dans le nuage. Autrement dit, quelqu’un de totalement étranger à ce loisir peut, moyennement 14,99 euros par mois, accéder localement à plus de 400 titres s’il possède un PC ou une console Xbox Series ; à une centaine via le cloud sur les dispositifs pris en charge.
Et ils sont nombreux à pouvoir bénéficier de l’application dédiée Xbox Cloud Gaming : celle-ci est proposée sur PC, consoles (Xbox Series, Xbox One), smartphones (mais pas les iPhone), tablettes et quelques TV connectées Samsung, ainsi que sur les casques VR Meta Quest compatibles.
De fait, en solution d’appoint, bon nombre de machines peuvent lancer une session via Xbox.com avec les navigateurs Microsoft Edge, Google Chrome ou Safari. Les restrictions sont Android 6.0 ou version ultérieure pour les smartphones et tablettes, Windows 10 20H2 pour les PC Windows, iOS / iPadOS 14.4 pour les iPhone et iPad, MacOS 14.1.2 pour les Mac, ChromeOS 79 pour le reste.
De nombreuses manettes sont prises en charge, avec des modèles signés Backbone, Razer, Nacon, Logitech, HyperX. Officiellement, ce dispositif est obligatoire : le Xbox Game Cloud ne supporte pas le combo clavier / souris nativement.
Pour les préconisations en matière de connexion Internet, Microsoft recommande simplement un débit de 20 Mb/s ou plus ; au moins 10 Mbit/s. La diffusion se limite à du 1080p à 60 images par seconde.
En résumé, le Xbox Cloud Gaming s’apparente à une Xbox Series X dans le cloud avec un catalogue d’une centaine de jeux. L’offre peut donc s’avérer intéressante pour celui qui ne possède pas de Xbox, voire pour un détenteur de Xbox Series S initialement abonné au Game Pass Ultimate pour profiter du catalogue de jeux ; pour tester n’importe quel titre proposé sans téléchargement préalable, ou profiter d’un rendu théoriquement supérieur. Testez le Xbox Cloud Gaming.
GeForce Now, l’expertise de NVIDIA
Début 2023, Microsoft et NVIDIA ont officialisé un partenariat centré sur l’ajout des jeux Xbox au GeForce Now. Un geste de la firme de Redmond dans le cadre de son rachat d’Activision-Blizzard, mais aussi un indice sur le fait que les deux services ne sont pas autant en concurrence que nous pourrions le penser ; peut-être simplement car ils ne ciblent pas les mêmes joueurs.
En effet, contrairement aux Xbox Cloud Gaming, dont l’abonnement comprend à la fois les jeux et l’accès aux serveurs, le GeForce Now est un « simple » accès aux centres de données de l’entreprise. Les utilisateurs s’en servent pour diffuser des jeux qu’ils possèdent déjà sur des plateformes de distribution telles que Steam, Ubisoft Connect, GOG, Epic Games Store, Origin.
Jusqu’à encore récemment, le GeForce Now s’adressait donc principalement à des joueurs vétérans possédant une ludothèque bien fournie ; sans quoi il fallait acheter chaque jeu un par un auprès des distributeurs, ce qui pouvait vite s’avérer onéreux en ajoutant la souscription au GFN. La donne a un peu changé avec l’intégration de jeux du Game Pass, bien qu’il faille alors cumuler deux abonnements ; celui auprès de Microsoft, l’autre auprès de NVIDIA.
Le GeForce Now est unanimement reconnu comme le meilleur service de cloud gaming du marché en matière de performance. Vous pouvez visionner une confrontation directe dans Gears 5 avec la vidéo ci-dessous proposée par Game Fusion. La compression YouTube estompe les différences, mais pour avoir expérimenter les deux services dans des conditions similaires, celui de NVIDIA est largement supérieur à la fois en matière de qualité visuelle et de réactivité.
NVIDIA propose trois formules. La version gratuite, très restrictive et dorénavant gangrenée de publicités, limite les sessions à une heure (mais renouvelables autant de fois que nécessaire ; il suffit de se reconnecter). Elles sont plafonnées à du 1080p à 60 images par seconde et ne permettent pas de profiter du ray tracing. Le GPU est équivalent à une RTX 2080. La formule Proritaire est facturée 10,99 euros par mois ou 54,99 euros pour six mois. Elle donne accès à l’équivalent d’une RTX 3080. Chaque session peut durer jusqu’à six heures. La diffusion reste en 1080p à 60 IPS, mais le ray tracing est de la partie.
Le dernier abonnement est l’Ultimate. Moyennant 21,99 euros par mois ou 109 euros pour six mois, il donne accès à une GeForce RTX 4080 dans le cloud, pour des sessions de huit heures maximum. Surtout, cette formule débloque la diffusion en 4K à 120 images par seconde ou en 1080p à 240 IPS (sous réserve d’avoir le matériel compatible).
La puissance d’une GeForce RTX 4080 est bien sûr largement supérieure à celle d’une Xbox Series X ; le fait de pouvoir streamer en 4K plutôt qu’en 1080p, et en 120 IPS plutôt qu’en 60 se matérialise par une qualité d’image accrue et une latence très contenue. Plusieurs expérimentateurs ont ainsi démontré qu’avec la connexion idoine, le délai était inférieur à celui d’une Xbox Series X en local.
Au niveau Ultimate, le service de NVIDIA s’adresse donc à ceux qui souhaitent faire fonctionner les jeux dans la meilleure qualité possible, quitte à payer le prix fort. L’abonnement Prioritaire, plus accessible, cible davantage le joueur lambda.
Une autre particularité du GeForce Now est l’utilisation des versions PC des jeux, avec tous la panoplie de paramètres graphiques que cela implique. Le support natif du clavier / souris est bien sûr présent, tout comme celui de pléthore de manettes.
Le GeForce Now est proposé sur un large panel d’appareils : PC Windows, Mac, Chromebooks, Smart TV Android, smartphones Android et iOS, et même via le système d’info-divertissement des véhicules désormais. Les centres de données, appelés SuperPODs par NVIDIA, sont disséminés dans plusieurs pays d’Europe, aux États-Unis, en Asie de l’Est, Australie, Afrique du Sud, Amérique du Sud et Moyen-Orient.
Le catalogue de jeux disponibles est supérieur à 1500 selon NVIDIA. Pas mal de AAA dans le lot, de Cyberpunk 2077 à Baldur’s Gate 3 en passant par les COD Modern Warfare et autres Battlefield. Les jeux Rockstar sont aux abonnés absents en revanche.
En matière de connexion, NVIDIA renseigne au moins 15 Mbit/s pour le 720p à 60 IPS, 25 Mbit/s pour la même fréquence en 1080p, au moins 35 Mbit/s pour la 4K. Rendez-vous ici pour tester GeForce Now.
PlayStation Plus Premium : pour les fans de Sony
Le PlayStation Plus de Sony souffre un peu de la comparaison avec le Game Pass de Microsoft, mais reste une valeur sûre pour les aficionados des jeux Playstation. Depuis 2022, l’entreprise nippone propose trois abonnements. À l’instar du Game Pass Ultimate, il faut opter pour le plus cher, le PS Plus Premium, facturé 16,99 euros / mois, pour goûter au streaming.
Cette formule permet d’accéder à plus de 300 titres via le cloud issus des consoles PS1, PS2, PS3, PS4 et PSP ; la puissance graphique fournie est celle d’une PlayStation 5. Le service se consomme sur une console PlayStation ou sur PC. Le PlayStation Plus Premium est l’un des services les moins gourmands en bande passante. Sony préconise un débit d’au moins 5 Mbit/s ; plus raisonnablement de 15 Mbit/s pour le 1080p.
Malheureusement, la plupart des tests sont assez mitigés sur la qualité de la diffusion en continu. En outre, vous l’aurez constaté, le service est assez restrictif ; il exclut totalement les smartphones et tablettes. Bref, c’est une offre à réserver aux fans de Sony – lesquels ont souvent une console de l’entreprise, voire plusieurs, ce qui limite l’intérêt de jouer via le cloud. Rendez-vous ici pour tester le PlayStation Plus Premium.
Amazon Luna, le nouvel entrant en France
Amazon Luna ne s’est lancé en France que récemment. Prime débloque l’accès à quelques jeux, parmi lesquels Fortnite. L’abonnement Luna+ coûte 9,99 euros par mois. Il donne accès à un catalogue d’une centaine de jeux. Vous le constaterez avec la capture d’écran ci-dessous, les softs proposés ne sont pas les plus populaires du moment – et c’est un euphémisme. Les têtes d’affiche sont Control ou Batman : Arkham Knight ; nous avons connu plus excitant.
Cependant, dans le cadre d’un partenariat avec Ubisoft, société à l’affût du moment Netflix du cloud gaming, il est aussi possible de profiter des jeux du studio ; de ceux déjà acquis sur son compte, ou de l’intégralité du catalogue via l’abonnement Ubisoft+.
Selon les tests réalisés par des confrères, le service mélange des versions PC et consoles de jeux. Il est par exemple possible de définir les paramètres graphiques dans Assassin’s Creed : Odyssey, mais pas dans Control.
Cela dit, les serveurs mobilisent des GPU Tesla T4 ; des cartes graphiques lancées en septembre 2018, sous architecture Turing – la même que pour les GeForce RTX 20 Series. Il ne faut donc pas trop pousser les curseurs vers la droite, sous peine de subir de grosses saccades.
Concernant la diffusion, c’est du 1080p au mieux. Les exigences en bande passante sont faibles, avec un minimum de 10 Mbit/s. Il est possible de jouer via son navigateur sur PC, Mac, Chromebook, iPhone, iPad, et Android. Par contre, seuls les appareils Amazon ainsi que les téléviseurs Samsung et LG ont droit à une application pour le moment.
Luna permet de jouer avec un clavier / souris ou une manette. Amazon propose d’ailleurs une manette officielle qui permet de réduire la latence grâce à une connexion Wi-Fi directe (les commandes saisies n’ont ainsi pas à transiter par le dispositif client ; la manette communique plus directement avec le serveur).
Selon les premiers retours, la latence est plutôt acceptable, mais la qualité visuelle est fortement dégradée par la compression. Il faudra certainement quelques mois avant que le service ne se perfectionne.
A priori, pour le moment, c’est donc une formule qui cible davantage le grand public que le hardcore gamer. Vous pouvez tester Amazon Luna en cliquant ici.
Blacknut, le service de cloud gaming français (cocorico)
Quelques mots sur Blacknut pour finir ; une entreprise fondée en 2016 par Olivier Avaro et dont le siège social est situé à Rennes. Contre 14,99 euros / mois (sans engagement), ce service de jeux vidéo en streaming octroie un accès à plus de 500 jeux (pas aux derniers AAA qui déboîtent).
Sa particularité est d’autoriser jusqu’à 5 profils de joueurs, qui peuvent jouer simultanément. Blacknut est disponible sur les ordinateurs, smartphones et SmartTV ; il cible un public familial. Les informations techniques sont inexistantes, mais les avis sont plutôt positifs. Bref, une option à considérer dans le cadre d’un foyer. Vous pouvez tester Blacknut ici.
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Bonjour,
Vous posez une question en titre de l’article mais il me semble que vous n’y répondez pas, vous dressez l’inventaire des offres sans plus. Vous qui êtes experts, que choisir alors ? Je suis équipé d’un mini PC sous win 11 pro x64 avec 16Go de DDR4 et 512go de SSD M2 NVME ave écran 34″ incurvé WQHD, clavier mécanique G Lab souris filaire optique gaming Logitech. Merci au rédacteur et à tous pour votre réponse.
Article loin d’être complet !
Aucun mot sur Shadow, par exemple, qui a l’air de bien dépoter !
Pourtant, c’est aussi français (cocorico bis!!!) de chez OVH, qui est quand même un poids lourd dans le domaine du net !
Peut être qu’ils n’ont pas voulu payer pour être cités ?
Vu que maintenant il y a beaucoup d’articles et de comparatifs où les parques citées payent pour être mentionnées, ça pourrait expliquer le pourquoi du comment.