Les clients de BroadVision, notamment les start-up, n’exploitent que rarement la puissance de personnalisation du logiciel One-to-One Enterprise. ‘ Elles privilégient, dans un premier temps, la rapidité de mise en service ‘, confirme Philippe Tolokonnikoff, ingénieur technico-commercial chez l’éditeur. Le site d’intermédiation Marketo, qui met en relation fournisseurs et donneurs d’ordres, illustre cette tendance.Ouvert aux directeurs techniques, marketing et de la communication émanant de différents secteurs d’activités, Marketo a misé sur les outils de personnalisation du serveur One-to-One pour concevoir un site adapté à tous les profils. Le tout en moins de trois mois.‘ Les règles de personnalisation ont joué un rôle essentiel dans notre choix : elles permettent de concevoir un site très dynamique et facile à faire évoluer sans intervention d’un développeur ‘, explique Jean-Jacques Borie, directeur technique de Marketo.Il poursuit : ‘ S’il faut développer, One-to-One utilise des langages connus, tels que Java ou C++, contrairement à des concurrents comme Vignette, qui imposent l’apprentissage de TCL. “Des développements, Marketo n’en a nécessité que très peu : outre les règles de personnalisation qui se configurent à l’aide de listes déroutantes dans lesquelles il suffit de piocher, One-to-One est livré avec une importante bibliothèque d’objets, qui facilite la création rapide de sites à vocation commerciale. ‘ Nous n’aurions pas pu aller plus vite ‘, conclut Jean-Jacques Bresson, PDG de Marketo. Il n’a qu’un regret : ‘ Faute de ressources humaines, BroadVision a parfois manqué de réactivité quand nous avions besoin de leur aide. ‘
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