“Mon objectif est de mener le rapprochement le plus rapidement possible pour aboutir à une société unique “, a poursuivi Georges Rousseau en faisant référence aux trois entités ?” juridiquement séparées ?” qui constituent actuellement Debis Systemhaus en France : Spring, revendeur acquis un an plus tôt et, enfin, Debis Systemhaus. Le but étant de construire un prestataire généraliste capable de mener de grands projets, de la conception (une acquisition dans le domaine du conseil est à l’étude) à l’exploitation, en passant par la mise en ?”uvre.
S’il entend ne pas changer d’un pouce sa stratégie, le patron de Debis Systemhaus, pour la France, reconnaît tout de même le caractère un peu déstabilisant de ces rumeurs.
“Il y a une semaine, un séminaire qui devait réunir tous les cadres de Debis a été annulé à Berlin “, explique Georges Rousseau. Selon les informations de Die Welt reprises par l’AFP, outre Siemens Business Services, EDS et Computer Sciences services (CSC) seraient candidats au rachat de Debis Systemhaus.
Pour 1999, l’ensemble de Debis Systemhaus devrait réaliser en France un chiffre d’affaires de lordre de 1,7&nbps;milliard de francs pour près de 1&nbps;800 salariés actuellement.
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