Prévus pour être commercialisées au mois de février en France, les suites de création de sites web Dreamweaver 4 et Fireworks 4 Studio connaissent de notables améliorations, à commencer par l’unification des interfaces, comme les palettes flottantes, et ce, afin de faciliter l’utilisation conjointe des différents logiciels. Pour Fireworks, les nouveautés sont légion, à commencer par une ouverture accrue aux formats d’autres logiciels, dont Photoshop. Ainsi, la récupération des fichiers . psd s’effectue avec le support des masques de fusion. Il est aussi possible d’exporter les travaux au format Photoshop. La création de menus déroulants est au programme, avec la génération automatique des codes JavaScript et l’élaboration des animations se fait dorénavant par simple glisser-déplacer. L’outil d’intégration de sites web, Dreamweaver, s’enrichit d’un éditeur de texte JavaScript perfectionné, avec, entre autres, une syntaxe colorisée et la numérotation de lignes.
Des fichiers au format . swf
Cet éditeur comprend bien entendu un débogueur ainsi qu’un outil de vérification de la compatibilité des pages avec les multiples navigateurs. Le déve- loppement peut se faire de manière graphique sur le document, en code, mais la fenêtre de travail peut aussi afficher les deux modes simultanément (Split View). De nouveaux textes et boutons pour Flash sont disponibles, permettant ainsi la création de fichiers au format . swf et évitant les problèmes d’affichage de police liés aux navigateurs. Toujours dans un souci d’ergonomie, le développeur peut caler sa page avec un système de boîtes flottantes qui seront converties en tableaux, (compatible CSS). Enfin, UltraDev 4, la version lourde de Dreawea- ver, destinée à la création de pages dynamiques, gère désormais les entités JavaBeans.
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