L’utilisateur n’a pas toujours besoin, pour une longue durée, d’un analyseur de protocoles. Dans ces conditions, le recours à la location peut se justifier.
Faut-il dépenser de l’argent pour maintenir un analyseur qui n’est pas obsolète mais qui n’est pas non plus ‘ dernier cri ‘ ? Pour la location comme pour la maintenance, la réponse n’est pas unique et prend en compte deux critères : le budget et l’aptitude du prestataire à faire des mises à niveau.
La possibilité d’acheter un analyseur d’occasion
Aujourd’hui, on peut donc louer les analyseurs de protocoles, notamment le WinPharoah, de GN Nettest ; le Triton 300 de Marconi ; le K1297, de Tektronix ; ou encore, la gamme Aurora d’analyseurs RNIS, de Trend… En France, quelques entreprises proposent aussi la location, ou la maintenance, d’analyseurs de protocoles. Les plus connues sont Livingston et Microlease, pour la location ; Somelec et E2M, pour la maintenance.
Ainsi, l’analyseur-simulateur de protocoles Tekelec-Chameleon 32 Plus dual SS7 peut être loué 9 770 F (1 489 E) pour un mois. Le testeur de protocoles MPA7300/8MIC/SS7/ GMS/RNIS, de GN Nettest, se loue, quant à lui, 10 985 F (1 675 E) pour quatre semaines.
Troisième type de prestation : la vente d’analyseurs de protocoles d’occasion. Il est possible d’acheter des appareils de seconde main, de douze à dix-huit mois, avec une garantie de un an. La ristourne peut atteindre 50 % du prix du neuf !
L’analyseur Sniffer ATM, de Network Associates, par exemple, est proposé à 143 800 F (21 922 E). Autre avantage, sur demande du client : le matériel peut être mis à niveau avec les derniers protocoles.
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