Très léger – il ne pèse que 1,7 kg, batterie comprise -, le Vaio Z600-TEK de Sony est un ordinateur portable puissant et très complet, construit autour d’un processeur Pentium III à 700 MHz. Il possède un disque dur de 20 Go, 128 Mo de mémoire RAM, et une carte graphique ATI dotée de 8 Mo de RAM, pilotant un écran TFT XGA (1 024 x 768) de 12,1 pouces. L’interfaçage comprend un port USB standard, une carte réseau interne Ethernet 10/100 sur port RJ45, un modem V. 90 interne, un port PCMCIA de type II sur port RJ11, un port pour les cartes mémoires MemoryStick, un port mini USB, un port FireWire (iLink), un port d’extension pour le réplicateur de ports et, enfin, une sortie casque et une entrée micro. Dans l’emballage, l’acquéreur trouvera en plus un lecteur de disquettes USB externe, un lecteur de CD-ROM externe auto-alimenté sur carte PCMCIA, et le réplicateur de ports. Le système d’exploitation proposé est Windows 2000 Professionnel ; ce qui s’avère un bon choix. En cas de problème la réinstallation du système est très simple grâce à un CD fourni et à la possibilité qu’a la machine de démarrer indifféremment sur disque dur ou sur CD. Ce portable peut, à la rigueur, tourner sous Millennium. Mais les pilotes deviennent difficiles à trouver pour les autres systèmes d’exploitation.
Le montage et l’acquisition vidéo en standard
e Z600-TEK pourra servir à l’acquisition et au montage vidéo, de nombreux logiciels de ce type étant fournis en standard. Ces programmes permettront à l’utilisateur de démarrer sans investissement supplémentaire. Mais ils ne valent tout de même pas leurs homologues d’Avid ou d’Adobe. La batterie Li-Ion offre une autonomie un petit peu faible, d’à peu près une heure et quart. Cela malgré une gestion intelligente de l’énergie, grâce à laquelle la vitesse du processeur et la luminosité de l’écran peuvent être réglées automatiquement en fonction des applications.Point fort de cet ordinateur portable : aucune dépense supplémentaire n’est à prévoir. Tout est compris dans l’emballage. C’est heureux, car le prix des extensions est très élevé, voire prohibitif. Si une batterie supplémentaire coûte déjà 2 690 francs, la palme revient aux extensions mémoire : la barrette de 128 Mo est en effet proposée au prix invraisemblable de 4 550 francs ttc, soit onze fois plus que celui d’une SDRAM standard.
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