Pour profiter du quadruple play chez Free, il suffit d’être abonné à son offre de dégroupage partiel ou total et d’être équipé de la dernière Freebox (version 5 ou HD). Pas d’option supplémentaire à régler, le
fournisseur restant fidèle à sa politique du forfait à 29,99 euros par mois tout compris. Chaque abonné est donc libre de choisir son opérateur GSM, voire son terminal. Un assistant personnel communicant, compatible Wi-Fi et sous Windows
Mobile, comme le
4350 de HTC fera parfaitement l’affaire, la seule condition requise étant la possibilité d’installer sur cet appareil un logiciel de
type client SIP (Session Initiation Protocol), le protocole choisi par Free pour véhiculer les appels téléphoniques par Internet.Le fournisseur propose toutefois son propre terminal. Le Freephone est un modèle du constructeur Pirelli, le
DP-L10 Black. Il est disponible au prix de 199 euros, mais son équipement et ses performances sont inférieurs à ceux d’un assistant
personnel communicant.Chez Free, contrairement à Orange, le hand over n’est pas assuré, c’est-à-dire qu’un appel démarré en Wi-Fi à la maison ne peut pas être continué à l’extérieur en GSM (la communication coupe). En revanche, il est
possible de bénéficier des tarifs de la VoIP depuis n’importe quel point d’accès Wi-Fi gratuit (dont le réseau étoffé de Freebox HD).Comme pour l’offre de téléphonie par Internet du fournisseur, les communications en Wi-Fi sont gratuites vers les numéros fixes (géographiques et de type 08 7) en France, en Guadeloupe, en Martinique ainsi que vers plus d’une
vingtaine de destination à l’étranger. Pour les autres types d’appels, il suffit de se reporter à la grille des tarifs consultable sur le site de Free.Enfin, pour peu que l’on dispose dun accès Wi-fi au bureau, il est possible de renvoyer gratuitement les appels reçus à la maison (sur le poste fixe) vers le terminal hybride. Les appelants sont ainsi facturés au tarif de la téléphonie
fixe.
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