Le workflow de gestion des nouveaux arrivants à l’Institut national de recherches en informatique et en automatique (Inria) de Grenoble (de dix à vingt par semaine) simplifie et accélère la tâche de la cinquantaine de personnes impliquées. Au prix, cepen- dant, d’un manque de souplesse par rapport aux formulaires papier, que l’on pouvait raturer ou surcharger. Cette automatisation a valeur d’expérimentation. Elle doit se prolonger par la gestion des ordres et des frais de mission, et, surtout, profiter aux autres centres de l’Inria. Cette extension se fera par le biais de la direction des réseaux et des systèmes d’information, alors que l’application pilote est gérée à Grenoble.
Le traitement des nouveaux arrivants concerne aussi bien les membres du personnel que les personnes extérieures. Après quel-ques mois d’utilisation, sera établi un premier bilan avec les utilisateurs. Mais déjà Marc Barret, ingénieur en charge des relations industrielles et responsable du projet, note : “Les utilisateurs sont satisfaits, mais il y a quelques défauts. Par exemple, il n’est pas très simple d’abandonner une procédure en cours. ” De plus, les utilisateurs voudraient, avec leur outil, gérer les mouvements internes et les départs. C’est en juin que démarrait le workflow Flowmind d’Akazi. L’application fonctionne avec des logiciels libres.
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