On aime… l’ergonomie du boîtier
La Liveradio n’a pas qu’un petit look rétro accrocheur. Elle est aussi fonctionnelle : les boutons disposés sur la façade sont accessibles et réactifs. La molette est tout aussi fiable. Avec un bémol : elle sert à la navigation tout autant qu’au réglage du niveau sonore… et on ne peut pas faire les deux en même temps
On aime… la réactivité
C’est la plus réactive du banc d’essai. Il lui faut 8 secondes seulement pour se mettre en marche, alors que le modèle le plus lent peut mettre jusqu’à 36 secondes ! Le temps de zapping est, lui aussi, réduit puisque 4 à 6 secondes suffisent pour passer d’une radio à l’autre
On aime… la prise USB
Quand on en a assez d’écouter les musiques diffusées sur Internet, la Liveradio peut alors servir à diffuser ses morceaux de musique favoris. Pour cela, il suffit de brancher sur sa prise USB la clé ou le disque dur où ils sont stockés. Et en avant la musique !
On n’aime pas… le manque de contraste de l’écran
Les dimensions de l’écran sont suffisantes pour afficher les infos essentielles à la navigation ou encore sur les morceaux diffusés. Son défaut vient d’un manque de contraste, qui peut rendre la lecture pénible dans certaines conditions d’éclairage
On n’aime pas… la qualité sonore
La Liveradio ne se distingue pas par ses qualités audio. Le jury lui a trouvé un son “ sourd et étriqué ”. Et lui a décerné la note peu glorieuse de 3,7
On n’aime pas… le classement des webradios
Pour naviguer parmi les 5 500 webradios et accéder à celle que l’on désire sans s’arracher les cheveux, un classement efficace est indispensable. Orange ne semble pas s’être préoccupé du sujet puisque s’y mélangent des sélections thématiques, très éclectiques, mais pas forcément étoffées (seulement cinq webradios dans le Folk & Blues). Mais aussi des sélections par pays, dans lesquelles il est impossible d’accéder à une catégorie de musique