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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…
24 février 2000 à 00:00
Guillemot Force Feedback Racing Wheel On aime… le retour de forceLes testeurs ont particulièrement apprécié le réalisme du retour de force. Bien dosé, il permet de…
Guillemot Force Feedback Racing Wheel On aime… le retour de force Les testeurs ont particulièrement apprécié le réalisme du retour de force. Bien dosé, il permet de ressentir fidèlement ce qui se passe à l’écran et d’entrer dans l’action. La note de 7,8 place ce modèle en deuxième position dans ce domaine
On aime… les deux leviers progressifs Situés juste derrière le volant, deux leviers permettent d’accélérer et de freiner de façon progressive. Plus on appuie, plus l’intensité de l’accélération ou du freinage est forte
On aime… le réalisme des commandes A l’issue de leurs tours de piste, les testeurs ont tous souligné le réalisme du fonctionnement du volant et du pédalier, en particulier leur dureté et leur débattement
On aime… le silence Inutile de s’équiper de boules Quiès pour conduire avec le Guillemot. Le volant est silencieux et se fait parfaitement oublier. Il obtient la deuxième place pour le critère concernant le bruit
On n’aime pas… le revêtement du pédalier Malgré toutes ses qualités, ce modèle présente une faiblesse au niveau du pédalier. Le revêtement antidérapant ne retient pas suffisamment le pied et on glisse facilement. Un ” grip ” plus efficace aurait été apprécié
Boeder Force Feedback Wheel On aime… le prix A 690 francs, ce modèle fait partie des moins chers de notre comparatif. Un prix très attractif si on le compare aux 1 290 francs du modèle signé Microsoft ou aux 1 190 francs de celui de Logitech. Evidemment, à ce prix, il ne faut pas s’attendre à des miracles : le Boeder arrive à l’avant-dernière place de notre classement général. Il n’en reste pas moins un bon compromis pour les joueurs qui ne veulent pas s’acheter une conduite à prix d’or
On aime… la qualité de la documentation Claire et précise, la documentation fournie avec ce modèle facilite vraiment la vie de l’utilisateur. Elle détaille pas à pas, et photos à l’appui, l’installation, le paramétrage et les grandes fonctions. Un atout pour ceux qui n’ont pas l’habitude de ce type d’accessoire
On n’aime pas… l’absence de profils Les joueurs invétérés vont être déçus : le Boeder ne propose aucun profil de jeu. Pire, il est impossible d’en programmer soi-même ! Si cela n’est pas gênant pour une utilisation occasionnelle, cela se révèle déjà moins pratique pour ceux qui comptent passer de longues heures sur le circuit de Monza ou dans les courbes du Rallye de Monaco
On n’aime pas… le bruit Ce modèle ne se distingue pas par son silence, c’est le moins qu’on puisse dire. Le jury a souligné le bruit émis par les mouvements du volant en cours de jeu et lui a attribué une note de 3,7 qui le relègue à l’avant-dernière place dans ce domaine
On n’aime pas… le mode de fixation Conducteurs violents, abstenez-vous ! Les fixations du volant du Boeder sont plutôt légères et il n’est pas rare de tout emporter avec soi dans un virage un peu trop serré ! L’écartement maximal de la table ne peut d’ailleurs pas dépasser les 4 cm : c’est le plus petit de notre comparatif. Un détail qu’il ne faut pourtant pas perdre de vue au moment de l’achat… sous peine de rester dans les stands
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