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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…

Panasonic – Lumix DMC-G2On aime… l’écran tactile et orientableNon seulement la définition de cet écran et sa réactivité sont bonnes, non seulement il est orientable et…

Panasonic – Lumix DMC-G2

On aime… l’écran tactile et orientable
Non seulement la définition de cet écran et sa réactivité sont bonnes, non seulement il est orientable et facilite les prises de vue (à hauteur de ventre ou par-dessus la tête), mais en plus, il est tactile. Une technologie que Panasonic a poussée jusqu’au bout puisqu’il est possible de faire défiler les images, de choisir précisément l’endroit de la mise au point et de déclencher d’un simple toucher d’index !

On aime… le mode auto-intelligent
D’une simple pression du bouton iA, et quel que soit le mode initialement enclenché, l’appareil passe en mode tout automatique et adapte l’exposition, l’ouverture et la sensibilité au type de scène et de sujet. Si les modes automatiques sont disponibles chez tous les constructeurs, celui de Panasonic remporte la palme de l’efficacité.

On aime… la molette cliquable
Si le G2 ne dispose pas d’une roulette comme sur les reflex pros, il est cependant équipé d’une confortable molette cliquable. En appuyant dessus avec le pouce droit, vous pourrez naviguer dans les menus d’une seule main.

On n’aime pas… la profusion de boutons en tout genre
Deux roues, trois leviers de sélection, une molette, douze boutons et un déclencheur : le moins que l’on puisse dire, c’est que le Lumix DMC-G2 est bien garni ! Mais face à une telle profusion de sélecteurs, le néophyte risque tout de même d’être légèrement perdu.

On n’aime pas… la prise USB propriétaire
Afin d’économiser de la place, Panasonic a recours à une prise mêlant l’USB et la sortie vidéo. Idée louable sauf qu’elle interdit le branchement d’un câble mini-USB, pourtant bien pratique lorsque les ordinateurs auxquels on a accès n’ont pas de lecteur de cartes mémoire.

 

 

Sony – Alpha A230

On aime… le prix !
Moins de 400 euros, qui dit mieux ! L’Alpha A230 est un bon petit reflex, idéal pour les budgets modestes et les débutants. En plein jour, il faut souvent se pencher sérieusement sur les clichés pour voir une différence de qualité entre ce modèle et les autres appareils de ce comparatif.

On aime… le double port de cartes mémoire
Fervent promoteur de son format propriétaire de cartes mémoire, le Memory Stick, Sony ne pouvait pour autant faire l’impasse sur le standard de la carte mémoire : le format SD/SDHC. Pour ne pas léser ses clients fidèles, il a donc intégré non pas un mais deux emplacements pour cartes mémoire. Idéal quand on a déjà des Memory Stick Pro Duo et des cartes au format SD.

On aime… l’ergonomie qui cible les débutants
Hors déclencheur et boutons de navigation, l’A230 ne compte que six boutons ! Ce modèle se rapproche également des compacts au niveau de l’interface graphique, volontairement simplifiée. Les réglages manuels sont bien sûr disponibles, mais nul doute que la grande majorité des utilisateurs laissera l’appareil en mode auto. Ou passera par la touche Fn (fonction) pour utiliser les modes créatifs tels que le mode N&B, assez convaincant sur ce boîtier.

On n’aime pas… l’absence de mode vidéo
Economique, l’Alpha 230 fait donc l’impasse totale sur la vidéo et la visée par l’écran. Ce qui en fait un appareil très traditionnel, quasi archaïque au regard des écrans tactiles, des modes vidéo Full HD et autres raffinements technologiques, dont nombre d’appareils de ce comparatifs sont équipés.

On n’aime pas… l’encombrement
L’Alpha A230 n’est pas un modèle réduit, il est même plutôt volumineux. Les petites mains risquent de le trouver un poil trop gros et un peu encombrant. Difficile de conjuguer petit prix, performances et compacité…

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Adrian Branco