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- Sept téléviseurs Full HD
Panasonic Viera TX-P42V10
On aime… le mode THX
C’est l’un des principaux arguments marketing de cet écran Plasma : la certification THX. Pour les fans de home cinéma, c’est l’assurance d’accéder en quelques manipulations simples à un mode reproduisant le plus fidèlement possible la qualité d’image voulue par le réalisateur du film. Ce mode THX est applicable à toutes les entrées vidéo et aux sources TV. Et le résultat est l’un des plus convaincants. Avec toujours la possibilité pour l’utilisateur de retoucher certains paramètres.
On aime… la profondeur des noirs
C’est l’un des gros points forts de ce téléviseur : sa propension à afficher des noirs intenses, qui ne virent jamais au gris, même lorsque l’on augmente la luminosité. Cette profondeur de noirs permet aussi d’enrichir les couleurs, de les rendre plus fidèles et plus chaleureuses, et améliore les contrastes.
On aime… le bouton d’extinction
Ce téléviseur plasma est, de loin, le modèle le plus glouton en énergie. On apprécie donc que le fabricant ait prévu la possibilité de l’éteindre complètement lorsqu’il n’est pas utilisé. Cela peut représenter quelques dizaines d’euros en moins sur la facture annuelle d’électricité.
On n’aime pas… la navigation
Chez Panasonic, visiblement, on aime les choses compliquées. Et cette interface utilisateur, qui n’a d’ailleurs pas changé depuis un bon moment, n’est pas des plus simples à comprendre et à utiliser. Entre la présentation terne, la navigation hasardeuse, l’appellation nébuleuse de certaines options de réglages avancés et leur manipulation, le calibrage de l’appareil est loin d’être une partie de plaisir.
On n’aime pas… la télécommande trop compliquée
A trop vouloir y caser de fonctions, Panasonic ankylose sa télécommande et rend sa manipulation très hésitante sans le mode d’emploi à portée de main. Entre la touche Viera Tools, la touche Viera Link, la touche Guide, la touche Option, la touche Menu et la touche «?I?», on s’y perd et on ne sait finalement plus trop à quoi chacune d’elles donne accès. Au final, il y a des centaines de fonctions disponibles en quelques clics, mais cela implique la lecture très attentive du mode d’emploi.
Toshiba Regza 40LV675D
On aime… le mode expert
Parmi les nombreuses possibilités de calibrage offertes par ce téléviseur, certaines sont très utiles et appréciables. C’est le cas, notamment, de la gestion de la couleur 3D qui permet d’intervenir sur la teinte, la saturation et la luminosité des trois couleurs primaires et des trois couleurs secondaires, et du fameux mode expert. Celui-ci permet d’activer ou de désactiver individuellement les trois couleurs primaires afin de pouvoir régler chacune d’elles de manière plus précise.
On aime… l’efficacité du mode Resolution+
C’est l’un des arguments marketing de Toshiba et, pour une fois, il n’est pas fallacieux. Cette fonction d’upscaling (augmentation artificielle de la définition des images standards pour un affichage en HD) se révèle efficace, pour peu que l’utilisateur prenne le temps d’effectuer quelques essais et réglages. Le résultat n’est pas transcendant sur toutes les sources, mais en général, l’activation du mode Resolution+ procure un net gain en dynamique et en précision.
On aime… l’interface pratique
Toshiba a visiblement compris que, pour permettre au plus grand nombre d’accéder à tous ces réglages, il fallait que l’interface soit claire, lisible et bien organisée. C’est effectivement le cas, avec une interface sobre sur fond noir, des appellations compréhensibles pour chaque fonction et un curseur qui se place discrètement sous l’image pendant les réglages.
On aime… le prix
Comment Toshiba fait-il pour vendre un téléviseur LCD 40 pouces deux fois moins cher que tous ses concurrents ? Mystère. Mais il est sûr que ce prix devrait attirer de nombreux acheteurs pour la période des fêtes de fin d’année.
On n’aime pas… la télécommande vieillotte
Qu’est-ce que c’est que cette télécommande ? Même s’il s’agit là d’un téléviseur LCD d’entrée de gamme, les designers Toshiba auraient pu faire un petit effort pour adoucir les courbes, enjoliver les touches et offrir une prise en main agréable. Celle-ci, en tout cas, semble tout droit sortie du carton d’un tube cathodique 36 cm des années 1980.
On n’aime pas… le design quelconque
Toshiba n’est décidément pas un chantre du design. Dommage car l’appareil est complet, de bonne qualité et bon marché. Mais son pied à l’aspect pataud, son cadre et ses finitions en plastique sans fioritures et sa télécommande, en font un téléviseur austère.
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