Dans sa conception, la version d’ Opera 5.0 optimisée pour la Labour and International Society fait penser à cette nouvelle génération de navigateur où tout est fait pour que l’internaute se sente chez lui dès sa première connexion au réseau.Dans le cas d’Opera 5.0, les utilisateurs sont des internautes syndicalistes, dotés d’une forte propension à l’antimondialisme.En ouvrant chaque matin leur navigateur, ils trouvent préinstallées dans leurs favoris les adresses des plus grandes centrales syndicales de la planète (AFL-CIO…) et des principaux sites d’information dédiés à la défense des salariés. Pour ne pas oublier l’essentiel, les liens vers la Banque mondiale, et le Fonds monétaire international figurent également au tableau.Dans un tel environnement, la circulation de l’information syndicale se fait beaucoup plus fluide.Pourquoi avoir choisi Opera ? La Labour and International Society?” dont le site sert de page d’accueil ?” cherchait une société ” éthique “ qui, sans être une terre d’asile de toutes les revendications, ne soit pas farouchement opposée à la présence des syndicats.De plus, l’outil choisi devait être gratuit et accessible à tout type de machines, même technologiquement dépassées. Or aujourd’hui, selon l’organisation syndicale, seul l’éditeur de logiciel norvégien Opera remplit ces critères.Disponible dans un premier temps en trois langues ?” anglais, norvégien et néerlandais ?”, la déclinaison syndicaliste d’Opera 5.0 est téléchargeable sur le site de la Labour and International Society.
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