- Les services de partage et d’archivage de favoris
- 1er ex æquo : tous vos réseaux centralisés
- 1er ex æquo : une indexation collaborative
- 3e : une convivialité limitée
- 4e : partage social pas très sociable
- Et aussi…
Le Web, c’est aujourd’hui plus de 230 millions de sites* et plusieurs dizaines de milliards de pages. Face à cette abondance, il est facile de se sentir désorienté. Spontanément, nous faisons appel au moteur de recherche, qui est souvent efficace lorsque l’on a déjà une idée précise de ce que l’on cherche. Mais le mécanisme des algorithmes de référencement a tendance à faire souvent remonter les mêmes adresses, occultant des perles qui, à défaut d’être populaires, n’en sont pas moins intéressantes. Face à ce mode de navigation ciblé, il en existe un autre, apparu avec le Web communautaire, on le nomme “ social bookmarking ”, que l’on traduit par partage de signets ou navigation sociale.
Pot commun de liens
Le principe est redoutable de simplicité : mettre en commun les liens vers ses sites favoris. Les meilleures adresses du Web sont ainsi partagées, répertoriées par popularité, thématique ou mots clés, une vraie mine d’or pour les curieux. Au fil du temps, ces services se sont perfectionnés et sont devenus bien plus que de simples annuaires de liens. Entre le site et le logiciel, ils s’intègrent dans les navigateurs Internet et sont liés aux réseaux sociaux de type Facebook ou Twitter. Ils permettent de creuser hors des sentiers battus, de trouver et de partager des informations que l’on ne cherchait pas forcément et qui apportent des éclairages inédits sur un sujet. Les plus importants sont hélas anglophones, mais il en existe un certain nombre en français, ou traduits, non dénués d’intérêt. Petite sélection des plus enthousiasmants.* Chiffres Netcraft Ltd pour octobre 2009.
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