Qu’il soit automatique ou bien manuel, le référencement de sites Web dépend entièrement du fonctionnement des moteurs de recherche ou de l’annuaire concernés. D’où la volonté des référenceurs de travailler au plus près avec ces derniers. Et dans le respect des règles, car certains sites ont été accusés de ” tricher “, en abusant des règles utilisées par les moteurs, afin d’être mieux classés.” Le but est d’être représentés auprès des moteurs de recherche pour travailler, la main dans la main avec eux, à bâtir des outils efficaces, sans jouer à la “gué-guerre”. Le but est également de mettre en place une charte déontologique que les adhérents accepteront, ce qui sera un “sceau de qualité” pour leurs prestations de référencement “, détaille Olivier Andrieu, trésorier de l’association.” La première démarche déontologique consiste à s’engager à ne pas “spamer” les bases de données des outils de recherche, et en général ne pas appliquer de procédures pouvant être considérées comme étant une action de “spam” “, continue Jean-Pierre Eskenazi, président de l’association.L’association prévoit, par ailleurs, de réaliser une étude de marché sur le potentiel du référencement, dont le résultat pourrait être connu dès cet été.Le budget de l’association proviendra exclusivement de la cotisation annuelle des membres, qui s’élève à 6 500 francs. Bien que tous les membres soient Français, Netbooster et 404 Found ont des bureaux dans des pays européens, et les autres membres ont des clients avec une audience internationale.” En faire partie permet d’être tenu informé et de pouvoir profiter de toute action relationnelle mise en place par l’association avec les dirigeants des outils de recherche. Cela permettra également de pouvoir afficher un logo faisant état de l’adhésion à une éthique de travail telle que définie par l’Ipea “, conclut Jean-Pierre Eskenazi.Le site Web de l’Ipea, www.ipea.asso.fr, n’est pas encore actif.
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