880, de Tandberg Data : une solution complète et performante Difficile de prendre ce système en défaut, quel que soit le critère pris en compte. Nette…
880, de Tandberg Data : une solution complète et performante Difficile de prendre ce système en défaut, quel que soit le critère pris en compte. Nette et très peu pixelisée, l’image se révèle la plupart du temps de qualité, même si l’on constate parfois un rythme légèrement saccadé. On peut également lui reprocher quelques pertes d’images en connexion RNIS, dès que l’on dépasse 15 images/s. En revanche, le codec affiche des performances très honorables sur le LAN (16 % d’images perdues à un débit de 25 images par seconde). Le son, quant à lui, ne souffre d’aucune insuffisance avec un taux de compréhension quasi parfait. Grâce à un système de cascade, une visioconférence peut regrouper dix participants, auxquels peuvent se greffer, mais seulement en mode audio, quatre participants supplémentaires.
L’interopérabilité avec les autres modèles n’a présenté aucune difficulté majeure, si ce n’est l’impossibilité, une fois seulement (probablement accidentelle), de faire apparaître l’image avec le modèle de Sony. En cas de perte d’un canal RNIS, celui-ci n’est récupéré que lorsqu’il redevient disponible. Sur le registre de la sécurité, la possibilité de chiffrer les communications est un avantage appréciable ?” et unique dans le comparatif. Une option qui n’empêche pas de pouvoir diffuser la conférence en streaming afin de permettre à un maximum de spectateurs de la suivre. Reste que le prix du modèle 880 est à la hauteur de sa qualité.
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Vega 2M, d’Aethra : une pléthore de participants Le point fort de ce modèle réside incontestablement dans sa capacité à accueillir dans une même visioconférence, grâce à un fonctionnement en cascade, jusqu’à 17 participants. C’est en tout cas la limite conseillée par le constructeur même s’il est théoriquement possible d’en adjoindre plus. Le codec (boîtier) en tant que tel ne dispose à l’origine que de 4 connexions BRI (canal RNIS). Conséquence : le mode d’affichage en mosaïque n’est guère possible. Le choix de l’intervenant apparaissant à l’écran se fait alors soit manuellement, soit automatiquement en fonction du plus haut volume sonore émis, ce qui devient très vite compliqué avec un grand nombre d’intervenants.
Concernant les communications, le volume du son n’est pas toujours continu, d’où un effet haché. L’image, quant à elle, manque de netteté, même si le codec d’Aethra obtient les meilleurs résultats du comparatif en grande vitesse de diffusion sur RNIS (25 images/s) avec seulement 25 % de déperdition d’images. Il se révèle néanmoins moins bien classé dans les tests de communication sur le LAN. On apprécie que le Vega 2M soit le seul à proposer un ” secret vidéo ” vraiment efficace. En termes d’interopérabilité, il nous a été impossible de connecter ce matériel avec celui de Sony, que ce soit en mode appelant ou appelé, sans qu’aucun des deux constructeurs ne puisse résoudre le problème. Le prix de ce modèle est assez compétitif.
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