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8 mars 2001 à 00:00
Western Digital Caviar WD400BB-00AUA0 On aime… les accessoires fournisPour installer un disque dur, un certain nombre d’accessoires sont indispensables : les vis pour le fixer bien sûr,…
Western Digital Caviar WD400BB-00AUA0 On aime… les accessoires fournis Pour installer un disque dur, un certain nombre d’accessoires sont indispensables : les vis pour le fixer bien sûr, mais aussi des glissières pour l’adapter, si la baie intérieure du micro est trop grande, et un câble en nappe pour relier le disque dur à la carte mère. A vrai dire, ces éléments ne sont pas d’un prix rédhibitoire, mais qu’y a-t-il de plus rageant, au moment d’installer son matériel, que de s’apercevoir qu’il vous faut retourner chez le marchand pour acheter une simple vis qui manque ?
On aime… la documentation L’installation d’un disque dur demande une bonne connaissance des réglages qu’il faut effectuer dans le micro-ordinateur. D’où l’importance des manuels qui expliquent la procédure d’installation. Ceux fournis par Western Digital avec le Caviar WD400BB ont tous les avantages : en français, ils décrivent avec un vocabulaire simple tout ce qu’il faut savoir.
A ceux qui, malgré la documentation claire et bien présentée, ne réussiraient pas à faire fonctionner leur disque dur tout neuf parce que, par exemple, leur PC est un peu ancien, Western Digital offre une assistance téléphonique gratuite. Seul (petit) inconvénient : cette aide n’est disponible que du lundi au vendredi, de 9 h 30 à 17 h 30, c’est-à-dire aux heures où la plupart des gens sont soit à leur travail soit en cours.
On n’aime pas… le taux de transfert en écriture
La seule petite faiblesse du Caviar WD400BB-00AUA0 de Western Digital est son taux de transfert en écriture, c’est-à-dire lorsqu’on enregistre des données sur le disque. Encore faut-il relativiser cette faiblesse : si le Deskstar 75GXP DTLA-307030 d’IBM et surtout le Quantum Fireball Plus AS font mieux, les autres disques sont encore moins performants.
Western Digital Caviar WD200BB-00AUA0 On n’aime pas… le prix au gigaoctet Les notes de performances de ce disque Western Digital, d’une capacité de 20 Go, sont presque identiques à celles du modèle de la même marque et portant presque le même nom, dont la taille est de 40 Go.
Mais si on considère le prix au gigaoctet, on passe de 47,20 francs à 69,40 francs. Si l’on excepte le disque Maxtor DiamondMax Plus 60 (de 40 Go), dont le prix au gigaoctet s’élève à 70,70 francs, c’est le prix au Go le plus élevé de tous les disques durs testés.
Maxtor DiamondMax Plus 60 5T040H4 On aime… le taux d’occupation du processeur Le transfert des informations du PC vers le disque dur demande un certain travail de la part du microprocesseur. Ce travail se traduit en ” taux d’occupation du processeur “. Il mesure, en pourcentage, les ressources que le processeur doit consacrer à ce travail. Avec un taux de 9 %, le disque Maxtor DiamondMax Plus 60 5T040H4 est le moins exigeant : c’est même le seul à descendre sous la barre des 10 %.
On n’aime pas… le prix le plus élevé De tous les disques testés, le Maxtor DiamondMax Plus 60 5T040H4 est le plus cher. Et de loin : avec un prix de 2 890 francs, il est le seul à passer la barre de 2 000 francs.
Du coup, pour le prix au Go, il dépasse même le disque Western Digital Caviar WD200BB-00AUA0, dont la taille n’est que de 20 Go (70,70 francs contre 69,40 francs), alors que, pour tous les autres disques, le prix au Go des disques de 40 Go est très inférieur à celui des disques de 20 Go.
Maxtor DiamondMax VL 40 34098H4 On n’aime pas… la hot-line à l’étranger La documentation des disques Maxtor (aussi bien pour celui-ci que pour le modèle DiamondMax Plus 60 5T040H4) est en français, et particulièrement explicite. Mais ces explications concernent surtout les PC récents : si le vôtre commence à prendre de l’âge, il est possible que l’installation du disque dur échoue. Dans ce cas, il vous faudra faire appel à l’assistance téléphonique. Mais préparez-vous à une facture salée : les appels téléphoniques vous seront facturés au tarif d’un appel normal vers l’Irlande !
Fujitsu MPG3409AT-EF On aime… le fonctionnement silencieux Si vous ne supportez pas le ronronnement continu d’un disque dur au repos, le Fujitsu MPG3409AT-EF est un choix possible. Avec 47,8 décibels, c’est en effet le moins bruyant de tous.
A noter toutefois que, lorsqu’il est en train d’écrire, il se situe en milieu de classement, avec une émission sonore de 60,4 décibels.
On n’aime pas… la documentation limitée Fujitsu a certes fait l’effort méritoire de traduire en français la documentation. Elle est toutefois très insuffisante en ce qui concerne le montage du disque dans le PC, ce qui ne facilitera pas son installation par les débutants. D’autant plus que le disque dur est livré sans logiciel utilitaire d’installation. Il ne restera qu’à étudier dans les manuels les explications théoriques, qui sont heureusement mieux traitées.
IBM Deskstar 75GXP DTLA-307030 On aime… le temps d’accès le plus court Le temps d’accès de ce disque dur, c’est-à-dire le temps qu’il met à retrouver un fichier donné, est le plus bref de tous. Pour ceux qui ne manipulent que des gros fichiers, cette vitesse, mesurée en millièmes de seconde, n’a que peu d’importance. Mais elle peut avoir une (petite) influence pour ceux qui utilisent une multitude de petits fichiers – ou pour ceux qui ne défragmentent pas souvent leur disque dur !
On n’aime pas… l’absence de documentation A part une petite fiche collée à même le disque, le Deskstar 75GXP DTLA-307030 est livré sans aucun manuel. Il n’est pas le seul dans ce cas, puisque les disques de marque Seagate sont eux aussi dépourvus de documentation. Mais l’absence de manuel est ici particulièrement handicapante : la hot-line d’IBM est en effet au prix d’un appel vers Orléans et, pour obtenir un utilitaire d’installation, il vous faudra le télécharger !
Quantum Fireball Plus AS On n’aime pas… la documentation en anglais Pour ce disque dur, comme pour le modèle Fireball LCT20, Quantum ne fournit que des manuels en anglais (contrairement à ce qu’exige la loi). Il est imité en cela par Fujitsu pour son disque MPF3204AH. Et, même si vous parlez couramment l’anglais, il n’est pas certain que vous parviendrez à installer votre nouveau disque dur. Les manuels, en effet, sont trop peu détaillés pour le montage du disque et, au contraire, trop techniques pour le réglage des cavaliers à l’arrière.
Seagate Barracuda ATA III ST320414A On aime… la hot-line gratuite Seagate partage avec Western Digital l’avantage d’offrir une assistance téléphonique gratuite. Une particularité bienvenue qui, en compensant l’absence de manuels d’installation et de documentation, offre une seconde chance à ceux qui n’ont pas réussi à installer leur disque.
Seagate U Series 5 ST340823A On aime… le moins cher au Go Les performances de ce disque dur ne sont pas éblouissantes et son installation souffre de l’absence de documentation. Mais, avec un prix au Go à peine supérieur à 30 francs, c’est de loin le moins cher de tous les disques durs testés. Une aubaine pour ceux qui ne recherchent qu’un disque de stockage de données (textes ou images, par exemple) sans avoir besoin de rapidité.
On aime… l’habillage en caoutchouc Entouré d’une gaine en caoutchouc, ce disque est, en principe, mieux prémuni contre les chocs que ses concurrents. Cet avantage ?” minime, quand on connaît la résistance aux chocs des disques durs actuels ?” intéressera ceux qui transportent souvent leurs PC.
Fujitsu MPF3204AH On n’aime pas… le bruit au repos Plus bruyant au repos que certains autres modèles quand ils sont en écriture, ce disque bercera de son ronronnement continu ceux que le bruit rassure sur le bon fonctionnement de leur disque dur, mais exaspérera ceux qui apprécient le silence.
On n’aime pas… l’échauffement En fonctionnement, ce disque dur dégage une chaleur caniculaire : plus de 44?’C. Le fonctionnement du disque n’en souffre pas, mais si votre PC est déjà encombré de cartes d’extension (ou si vous avez forcé la fréquence du processeur), vous courez un risque de surchauffe et, donc, d’erreur et même de plantage.
Quantum Fireball LCT20 On n’aime pas… la vitesse réduite Les taux de transfert du disque Quantum Fireball LCT20 sont très faibles : en écriture, il est sept fois moins rapide que le meilleur de ses concurrents !
A écarter absolument si vous êtes un adepte de la vidéo numérique. La documentation réduite (et en anglais) et l’assistance téléphonique payante ne sont pas plus attirantes. Seul le prix, lun des plus bas, pourrait justifier son achat. Et encore…
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