Les RTX 3000 de génération « Ampère » peinent à sortir du four que se dévoile la prochaine génération de GPU Nvidia. Après avoir rendu hommage au français André-Marie Ampère qui a donné son nom à l’unité du système international de l’intensité d’un courant électrique, Nvidia pourrait rendre hommage à l’Anglaise Ada Lovelace (Augusta Ada King, née Byron, comtesse de Lovelace), qui a écrit le premier programme informatique de l’histoire.
Outre le nom, les quelques détails de cette prochaine architecture sont eux aussi à prendre avec des pincettes : la génération « Ada » serait synonyme de puces gravées en 5 nm intégrant plus de mémoire cache et beaucoup plus de processeurs de flux et autres CUDA cores.
Selon la source sur laquelle WCCFtech s’appuie, qui s’est avérée très fiable sur la génération Ampère, le gain de performance théorique entre Ampère et Ada serait particulièrement important – de 37,6 TFLOPs à 64,5 TLOPs. Ce qui s’expliquerait par le fait qu’Ada ne serait pas une simple réduction d’Ampère (« die shrink » dans le jargon) mais une révision en profondeur de l’architecture.
A l’état de rumeur pour le moment, il ne fait cependant nul doute que la génération qui succèdera à Ampère se devra d’offrir un gros gain de puissance.
Car, entre AMD, qui a réussi son retour dans la course à la performance avec ses Radeon RX 6000, et Intel, qui investit massivement dans les GPU, Nvidia va devoir faire face à une concurrence féroce dans les années qui viennent.
Source : WCCFtech
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