A quelques jours d’intervalle, Toshiba et Hewlett-Packard viennent d’annoncer leurs nouvelles gammes de portables familiaux pour la rentrée. Contrairement à Compaq et Packard Bell, pour lesquels le ticket d’entrée se situe à 10 990 francs (1675 euros) pour les nouveaux modèles, le prix le plus bas est ici à 9 990 francs (1523 euros).Les deux constructeurs s’installent ainsi sur le créneau du ” moins de 10 000 francs ttc ” avec des nouveaux modèles qui figurent en bonne place au catalogue. Il ne s’agit plus, comme souvent par le passé, d’offres promotionnelles ou de matériels en fin de vie. Par ailleurs, ce prix plancher ne signifie pas pour autant des équipements au rabais.
Ecran TFT de 13,3 pouces et sortie TV
Le Pavilion N5421L, de Hewlett-Packard, et le Satellite 1800-100, de Toshiba, embarquent tous deux un processeur Mobile Celeron à 800 MHz et 128 Mo de mémoire vive, quantité enfin appréciable et adaptée au futur système d’exploitation Windows XP.Par ailleurs, fini les écrans de petite taille ou à matrice passive : on trouve ici des modèles de 13,3 pouces à matrice active. La capacité disque est généreuse (15 ou 20 Go) et les portables possèdent un modem interne à 56 kbit/s, un lecteur de CD-ROM 24x et une sortie TV.La stratégie de Toshiba et HP qui consiste à passer sous la barre psychologique des 10 000 francs diffère de celle de Compaq et Packard Bell. Ces derniers misent sur le petit plus censé faire la différence, moyennant 1000 francs de plus. Compaq a ainsi choisi d’équiper son Presario 1201 non pas d’un lecteur de CD-ROM mais d’un DVD-ROM 8x, ainsi que d’une batterie lithium-ion qui procure une meilleure autonomie.Packard Bell, de son côté, a doté son Easy One Silver 2800 DVD d’un lecteur de DVD et d’un écran plus large de 14,1 pouces. Pour ces deux machines toutefois, la capacité disque n’est que de 10 Go.Côté logiciel, les quatre rivaux se valent, avec une bonne panoplie composée dau moins un traitement de texte, un intégré de bureautique et quelques logiciels pour la maison. Dans ce domaine également, premier prix ne signifie donc plus indigence.
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