Connaissez-vous la dernière blague en vogue qui, de mail en mail, surfe sur les heurs et malheurs des nouvelles technologies ? Un demandeur d’emploi est candidat à un poste au service d’entretien chez Microsoft. Ne disposant pas d’adresse e-mail à son domicile, le poste lui est refusé. Déterminé à travailler, il devient vendeur de fruits et légumes, millionnaire au fil des ans et toujours sans adresse e-mail. Morale de l’histoire : les nouvelles technologies ne sont pas un passage obligé pour la réussite. Certes, les excès de la nouvelle économie auraient de quoi alimenter aujourd’hui la moquerie si ce n’était la liste interminable des suppressions d’emplois. Pour autant, les nouvelles technologies ne sont pas à jeter avec l’eau du bain des marchés. Les outils qui, chaque jour, rendent plus efficaces la gestion et les appareils de production des entreprises font désormais partie intégrante du paysage industriel, sans marche arrière possible. De son côté, le secteur des nouvelles technologies, le plus exposé aujourd’hui, se restructure, se rationalise. Mais quoi de plus logique ! Les NTIC entrent dans la norme. Et cest tant mieux.* rédacteur en chef adjoint
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